Article de Jean-Marc Salvet paru dans Le Soleil du 14 octobre 2010.
Devant ce qui n’était encore qu’une possibilité, mercredi, le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, a fait savoir qu’il était «complètement inacceptable de faire adopter une loi comme celle-là, cruciale pour l’avenir du français, sans l’unanimité de l’Assemblée nationale». Il a parlé d’«insulte pour le peuple québécois».
La majorité des mémoires présentés en commission parlementaire le mois dernier ont réclamé l’application de la loi 101 aux écoles non subventionnées.