Le baiser empoisonné d’Alain Dubuc : de l’insulte à la perfidie

Un des journalistes les plus méprisants, Alain Dubuc, essaie de nous faire la leçon en disant qu’il faut ménager les politiciens et qu’on doit les critiquer dans le respect. Pourtant, ses chroniques sont fréquemment d’une médisance et d’une hostilité qui atteint des sommets lorsqu’elles portent sur les défenseurs du français ou les indépendantistes. J’y ai goûté régulièrement.

Pour ne citer qu’un exemple, dans son article « La game » en 2008, en une seule phrase il me décrivait en disant « Il été président de la région Montréal-Centre du PQ, le bastion du radicalisme, il est premier vice-président de l’intégriste Société Saint-Jean Baptiste, il est le porte-parole du Mouvement Montréal français, les troupes de choc de l’anglophobie. » Josée Legault avait fort bien résumé le propos de M. Dubuc dans son texte «Des bises pour Pauline», il amalgame perfidement tous les politiciens avec Jean Charest pour dire qu’ils sont traités de façon injuste et caricaturale.