Les «harpeurismes»: moteur de l’indépendance du Québec

Lettre de Christian Lachapelle publié par Le Devoir le 18 février 2012

La situation est claire au Québec: nous sommes dirigés par un gouvernement fédéral et nous n’y avons aucune voix. Bernier, Lebel, Paradis et autres fantoches ne sont que des guignols au service d’un ventriloque machiavélique qui se fait du capital politique dans le ROC sur le dos du Québec. Pour le reste, l’opposition est hors jeu et n’inquiète aucunement le parti au pouvoir, c’en est risible. Québécoises et Québécois, que faut-il donc attendre pour se prendre en main? N’y a-t-il pas là une évidence que le temps est venu d’affirmer notre indépendance par rapport au Canada qui est maintenant et de plus en plus l’ombre de lui-même? L’heure est grave lorsqu’un fédéraliste comme Justin Trudeau affirme haut et fort que si le Canada devient ce que les conservateurs veulent en faire, il souhaiterait que le Québec devienne une nation indépendante!

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