LESTER: Le Parti libéral du Québec. Après la loi 115, il n’y a plus rien à vendre.

Article de Normad Lester paru dans son blogue le 20 octobre 2010.

Le troupeau de bovins roux qui empeste le Salon bleu vient de rejoindre cette méprisable racaille. Ils méritent que la Société Saint-Jean-Baptiste fasse comme en 1981 et publie une pleine page dans le Devoir pour dénoncer leur forfaiture. Je propose que cette fois l’image des traitres, sous forme d’une photo d’identité judiciaire, accompagne leur nom pour que les Québécois puissent incruster leur profil repoussant dans leur mémoire.

« Ce sont des traîtres! » criait le titre en gros caractères du texte de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal qui dénonçait les députés fédéraux du Québec. L’actuelle sénatrice Céline Hervieux-Payette avait intenté une poursuite en diffamation de 440 000 $ contre la SSJB et ses dirigeants. La saga juridique s’est terminée en 2003 lorsque la Cour suprême a confirmé que la SSJB avait le droit d’appeler « traîtres » les députés libéraux du Québec.

Lire l’article dans le blogue de Normand Lester