MÉMOIRES

MÉMOIRE  (2016) – Pour une politique axée sur un développement majeur de la demande et des habitudes de vie en faveur des produits culturels de langue française sur nos écrans – Allez plus loin que Netflix !  MQF – « Cette préoccupation est amplifiée par une anglicisation galopante du Québec dans tous les domaines. Il est donc normal que la consommation culturelle s’anglicise par le fait même. Comme l’écosystème linguistique est composé d’une variété d’éléments qui s’influencent les uns les autres, il faut agir sur tous les fronts et ce renouvellement de la politique culturelle est une occasion en or pour proposer au gouvernement d’investir comme jamais dans une plateforme qui ne serait pas à la remorque de NETFLIX, mais qui deviendrait le rendez-vous majeur pour les 5 à 101 ans. »


MÉMOIRE – (2016) – L’exemplarité de l’État en matière de comportement linguistique, l’établissement d’un coût unitaire de francisation et une francisation obligatoire – Trois éléments essentiels pour prévoir les volumes d’immigration en 2017-2019 – MQF – « Le problème de l’immigration ce n’est pas le nombre, mais un État qui ne fait rien de vraiment structurant pour inclure les nouveaux arrivants à une société de langue française. »


MÉMOIRE – (2016) –  La francisation de l’immigration : Le Québec rate la cible depuis 25 ans. Commission des relations avec le citoyen dans le cadre de la consultation particulière sur le projet de Loi 77, Loi sur l’immigration au Québec – MQF  « Le français recule au travail et perd du poids à chaque recensement. L’anglicisation est liée directement à une politique d’immigration qui anglicise le Québec et au bilinguisme institutionnel pratiqué par le gouvernement qui envoie le message aux nouveaux arrivants qu’ils peuvent fonctionner toute leur vie en anglais avec l’État.»


MÉMOIRE – (2015) – Pour que le français soit aussi prioritaire que l’atteinte du déficit zéro. Se donner des objectifs clairs et mesurables – Commission des relations avec le citoyen dans le cadre de la consultation publique sur les documents intitulés : Vers une nouvelle politique québécoise en matière d’immigration, de diversité et d’inclusion  SSJBM – «À la lumière de ces données, nous pouvons dès lors affirmer que le français n’est pas encore la langue commune du Québec comme l’anglais est celle du Canada. Contrairement à la France où toutes les institutions publiques fonctionnent uniquement en français et où les allophones et les anglophones doivent utiliser le français pour vivre, les institutions publiques bilingues du Québec permettent aux non-francophones d’avoir des interactions avec le gouvernement en anglais. Ce qui a pour conséquence que la langue d’usage public n’est pas obligatoirement le français, mais le plus souvent l’anglais.»


MÉMOIRE – (2014) – Pour une société unie et des services à la population efficaces  : mettre un terme à la bilinguisation du système de santé du Québec  BOUCHARD, ÉRIC. LAPORTE, MAXIME. LEFEBVRE, MATHILDE – « En offrant leurs services en anglais, les institutions québécoises, en plus d’entrer en complète contradiction avec l’esprit de la Charte de la langue française, accélèrent la progression de l’anglais aux dépens du français en laissant le choix aux immigrés de s’intégrer à la société dans la langue officielle canadienne de leur choix. »


MÉMOIRE – (2014) – Commission des institutions de l’Assemblée nationale – Projet de loi n° 60 Charte affirmant les valeurs de laïcité et de neutralité religieuse de l’État ainsi que d’égalité entre les femmes et les hommes et encadrant les demandes d’accommodement – POIRIER, ÉRIC – «Le présent mémoire fait la démonstration du pari risqué que représente l’ajout de l’expression « primauté du français » dans la Charte des droits. Le MQF profite de l’occasion pour suggérer au législateur de la substituer par l’expression « français comme langue officielle » ou, ce qui aurait le mérite de codifier l’idéal qui a vu naître la CLF, par l’expression « français comme langue commune ».