La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB) joint sa voix à celle de la famille de Victor-Lévy Beaulieu pour exiger que soient tenues des funérailles nationales pour rendre hommage à cet homme de lettres qui a immensément marqué le Québec.
Alors que le roi Charles III s’apprête à prendre la parole à la Chambre des communes, il est essentiel de rappeler ce qu’il incarne : une monarchie coloniale empreinte de répression, responsable de l’exécution des Patriotes, de l’exil de nos héros et d’une longue tradition de négation de l’émancipation du peuple québécois.
Le roi Charles II sera en visite à Ottawa à compté de demain pour prononcer, notamment, le discours du trône ce mardi. Visionnez l’entrevue dès maintenant.
La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB) tiendra aujourd’hui une grande marche dans la métropole québécoise pour la Journée nationale des Patriotes. Le ralliement se fera au carré Saint-Louis, à 13 h, angle Saint-Denis et rue du square Saint-Louis, où les marcheurs entameront un trajet pour se rendre là où plusieurs Patriotes ont été enterrés, à la Place du Canada, pour y revendiquer que cette dernière soit rebaptisée parc des Patriotes.
La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, par la voix de sa Présidente générale, Marie-Anne Alepin, décerne le titre du Patriote de l’année à Louise Harel. Madame Harel a été choisie pour son engagement à faire la promotion et à défendre la langue française à Montréal. Depuis 2022, Louise Harel s’est illustrée comme présidente du comité sur la langue française de la Ville de Montréal, qui a obtenu la création d’un bureau de la langue française pour la métropole.
Montréal tourne le dos à son héritage sans écouter la population : la tradition de la Croix du Mont-Royal lors du décès d’un pape.
La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB) affirme son appui à l’Action nationale dans son opposition au projet d’implantation d’un poste d’Hydro-Québec dans les jardins de la Grande Bibliothèque.
La SSJB souhaite faire connaitre le refus du conseil d’administration de la Société de transport de Montréal (STM) de rendre hommage à l’artiste peintre Marcelle Ferron par l’ajout de son nom à celui de la station Champ-de-Mars. Sa Présidente générale, Marie-Anne Alepin, s’inquiète qu’en 2025, alors que les femmes sont presque totalement absentes des toponymies québécoises, qu’il y ait encore de l’objection indue face aux propositions visant à corriger la situation. La démarche de la SSJB s’est faite avec l’appui de la famille de Madame Ferron.
En 1837 et 1838, les patriotes se soulèvent, motivés par des revendications démocratiques fondamentales. La répression anglaise est sanglante et sans merci. Au Québec, je me souviens.
D’abord, un moment historique : Justin Trudeau annonce son départ. Après une décennie au pouvoir, il laisse derrière lui un pays en crise d’identité, où le Québec continue d’être traité comme une province de seconde zone. Comme le disait Pierre Bourgault : « Nous ne voulons pas être une province pas comme les autres, nous voulons être un pays comme les autres. »
Déploiement historique du plus grand drapeau du Québec au parc Jacques-Cartier à Sherbrooke! Merci à la Société nationale de l’Estrie pour la collaboration, à Étienne-Alexis Boucher et Marie Vachon-Fillion.
Alors que le président des États-Unis annonce sans scrupules vouloir ajouter une 51e étoiles au drapeau américain, il est plus que jamais le temps de hisser notre fleurdelisé haut, très haut.