Lisa-Marie Gervais, Le Devoir du mercredi 02 septembre 2009
La ministre de l’Éducation, Michelle Courchesne, ne croit pas qu’offrir des cours en anglais dans une université francophone constitue une menace à l’enseignement du français. Pour autant qu’il s’agisse de cours dans des «programmes bien ciblés», elle y voit une ouverture sur le monde, voire un «passage obligé» pour «attirer des étudiants étrangers», a-t-elle soutenu avant de participer à la première journée des auditions publiques de la Commission parlementaire sur la gouvernance des cégeps et des universités.