Article d’Amélie Daoust-Boisvert paru dans Le Devoir du 19 juillet 2010.
« On se seraient crus en octobre 70 ! », s’inquiète Mario Beaulieu, de la Société Saint-Jean-Baptiste. « Il y a plusieurs témoignages, c’est clair que les Québécois ont été ciblés, intimidés, victimes de commentaires xénophobes », poursuit-il. Aussi, devant les « violations évidentes des libertés civiles » à Toronto, il estime nécessaire la tenue d’une enquête publique. « Est-ce qu’il y a eu un mot d’ordre ? Quel va être le respect au droit de manifester à l’avenir ? », demande-t-il.