Yannick Lacroix, professeur au collégial :
«Dans les conditions actuelles, refuser d’étendre la loi 101 au collégial revient à reconnaître qu’on a décidé, au plus haut niveau, d’abandonner la politique linguistique de l’État québécois, c’est-à-dire l’objectif de faire du français la langue commune du Québec.»