Article de Pascale Breton paru dans La Presse du 4 octobre 2011.
Avec la disparition de certains cours dans la formation au secondaire, notamment ce qu’on appelait «les petites matières», plusieurs enseignants se sont recyclés en enseignement de l’histoire, dénonce aussi Robert Comeau, porte-parole de la Coalition pour l’histoire du Québec.
«Au secondaire, il y a un nombre trop important d’enseignants qui n’ont pas de formation en histoire», dit-il.
La Coalition, dont fait partie la Fondation Lionel-Groulx, fait plusieurs recommandations au gouvernement pour améliorer la situation de l’enseignement de l’histoire. Elle préconise notamment de rehausser le programme universitaire en obligeant les élèves à suivre 10 cours sur l’histoire du Québec et du Canada.