Le fil conducteur de ce groupe disparate ? L’exigence d’un «Montréal français, intègre et cosmopolite», annonce M. Brûlé, qui dit tendre la main aux anglophones pour bâtir une métropole résolument francophone.
Il fustige également la mauvaise gestion des deniers publics, dont il regrette «la dilapidation», proposant d’y remédier par un régime minceur, par le biais, notamment, de la réduction du nombre d’élus municipaux, qui passerait de 103 à 31. Une simplification de l’appareil administratif et sa centralisation sont également prévues.
Voir l’article de Sylvain Sarrazin sur La Presse