Rappelons qu’en 2015, la Société Saint-Jean-Baptiste s’était alliée à plusieurs groupes environnementaux pour dénoncer essentiellement la même chose.
À l’époque, l’Office national (sic) de l’Énergie, cet organisme fédéral aux ramifications douteuses, avait refusé de traduire en français plus de 30 000 pages de documents déposés par TransCanada sur le projet Énergie Est…
Plus ça change, plus c’est pareil.
Le pétro-colonialisme canadien à son meilleur.
Article du JOURNAL DE MONTRÉAL