Plus de 500 personnes ont manifesté le 5 novembre dernier au centre-ville de Montréal pour dénoncer le recul du français dans les commerces de la métropole.
L’un de ses organisateurs, le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, estime que l’OQLF doit imposer des amendes sévères aux commerçants qui ne respectent pas la loi 101 plutôt que de s’en remettre à la sensibilisation.
Mario Beaulieu affirme que l’OQLF tolère depuis déjà trop longtemps les bannières commerciales unilingues qui ne respectent pas la loi sur l’affichage commercial.