Michel David : « De toute évidence, on s’est arrangé pour éviter à la ministre d’être confrontée à des données qui auraient pu être embarrassantes. Le changement de gouvernement n’a apparemment rien changé à l’habitude de s’ingérer dans le travail de l’OQLF, qui devrait en principe être un organisme neutre. »
Lire la chronique de Michel David dans Le Devoir