Stéphane Handfield, avocat de Carles Puigdemont, a expliqué aux médias qu’Ottawa dit avoir des « motifs raisonnables » de croire que l’ancien président de la Catalogne serait « interdit de territoire au Canada » en vertu des accusations portées contre lui en Espagne.
Fort bien. Mais comment se fait-il que la demande ait été refusée plusieurs mois après avoir été présentée, dans la foulée de nombreux échanges, alors que ces accusations sont au cœur du litige depuis le tout début ?
L’avocat s’en dit surpris.
C’est en effet, au mieux, déconcertant.