Une analyse des données de l’OQLF sur la langue de travail

Il est particulièrement intéressant de relever que les employés des entreprises dont le siège social est situé dans une autre province canadienne utilisent plus le français au travail que celles dont le siège social est situé dans la région de Montréal. Ironiquement, la reconnaissance du « fait français » par les anglophones hors-Québec semble être plus importante que celle qui est faite par les diplômés de Dawson, John Abbott, McGill et Concordia. »

Article dans L’AUT’JOURNAL