décembre 2012

Bonne année, Pierre-Jean-Jacques!

Texte de Boukar Diouf parue dans La Presse du 29 décembre 2012 Grâce à ta générosité, j’ai rapidement découvert que pour un immigrant, garder les

Le scandale financier du mégahôpital McGill : les citoyens des régions sont les dindons de la farce

On apprenait récemment que l’Unité permanente anticorruption (UPAC) enquêtera sur les transactions immobilières du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Le CUSM serait en quasi-tutelle suite au dérapage financier majeur survenu sous l’administration du Dr Arthur T. Porter.

Dans la saga du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), les citoyens des régions éloignées de Montréal sont les dindons de la farce. Ils auront à payer pendant des décennies pour un deuxième mégahôpital anglophone, alors que pour une ville de cette taille, un seul mégahôpital suffirait amplement. Situé dans un rayon d’à peine dix kilomètres, chacun de ces mégacentres hospitaliers représente l’équivalent d’un stade olympique en investissements publics. Toutes les régions du Québec devront contribuer à défrayer des milliards de dollars pour 2 mégahôpitaux à Montréal, financés à part égale, l’un pour les 79 % de francophones et l’autre pour les 8 % d’anglophones au Québec. Le domaine de la santé s’établit de plus en plus comme l’un, sinon le plus important employeur. Le McGill University Health Center (MUHC) constitue déjà le 4e employeur en importance à Montréal, devant le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM).

D’une pierre deux coups

«Depuis 1978 une entente de réciprocité universitaire lie la France et le Québec. Selon les termes de l’entente, les Québécois qui étudient à l’université en France paient les mêmes droits de scolarité que les Français et vice-versa. Si le nombre de Québécois qui partent étudier en France stagne à environ un millier par année depuis longtemps, le nombre de Français qui viennent étudier au Québec est en augmentation constante: depuis 2006, ce nombre a augmenté de 37% pour atteindre 8798 étudiants temps plein à l’automne 2010 (derniers chiffres disponibles du MELS). Or, de ce nombre, une bonne proportion choisit d’étudier dans les universités anglaises du Québec, se payant ainsi le rêve américain à un prix défiant toute concurrence. Ainsi à l’automne 2012, McGill accueillait-elle à elle seule 1161 français.

Saint-Eustache proclamée capitale nationale des Patriotes

Article d’Eric Mondou publié sur le site de TVAnouvelles.ca le 14 décembre 2012

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«On dit que certains lieux portent en eux un sens qui dépasse leurs limites territoriales, a déclaré Benoît Coulombe, président de la section Jean-Olivier Chénier de la SSJB. C’est le cas de Saint-Eustache, que Chénier et ses hommes ont inscrit dans la mémoire collective. Il était donc naturel pour nos membres que Saint-Eustache hérite du qualificatif de capitale nationale des Patriotes.»[…]

Durant son allocution, le maire de Saint-Eustache, Pierre Charron, a souligné l’importance de se rappeler des moments de notre histoire nationale.

Pour mieux comprendre Richard Henry Bain

Lettre de Pierre Desjardins publié dans le journal Le Devoir le 7 décembre 2012

«Jetons un coup d’oeil, par exemple, sur ce qu’en tant qu’anglophone il avait l’occasion de lire dans ses journaux et nous jugerons ensuite si nous avons tellement à nous surprendre qu’un être aussi fragile mentalement que lui ait voulu s’attaquer à la chef nouvellement élue d’un parti souverainiste.

La chroniqueuse du Calgary Herald écrivait peu avant l’élection que le programme de Pauline Marois est le plus raciste de toute l’histoire canadienne. Le National Post dira le jour de l’élection que Mme Marois n’a pas sa raison d’être à la tête du Québec, car malgré son élection, les Québécois eux-mêmes ne veulent pas d’elle… Et quant à The Gazette et au Globe and Mail, depuis des années, disons-le, ils traitent les militants du projet souverainiste de terroristes et de radicaux qui veulent retirer tous ses droits à la minorité anglophone.
[…]

Soirée exceptionnelle le 7 décembre dernier

    «Quatre sections de la SSJBM, les sections Louis-Riel, Chevalier-de-Lorimier, Jacques-Viger et Chomedey-de-Maisonneuve, ont uni leurs talents et leurs forces pour organiser une soirée