▶ Adidas, y’a du bon là-dedans…

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Ce minable (« colonisé » selon Régis Labaume) nous rend service: l’indignation nous fait réaliser qu’il y a encore des gens qui s’intéressent au français à Montréal (je ne parle par du Premier ministre qui n’avait pas trop le choix). Je suis ébahi qu’Adidas n’ait pas émis d’excuses officielles. À nous de comprendre que notre clientèle ne les intéresse pas. Mais si ce type était seul, Montréal serait une ville française. Or Montréal n’est pas française. Ce francophone qui méprise le français n’est pas seul. Je ne souhaite pas que tout le monde parle français partout et tout le temps, mais tout le monde en soit capable afin que Montréal soit la métropole d’un État cosmopolite mais français. Comme le disait Pierre Bourgault le 7 octobre 1988 (!): « C’est facile d’imposer une langue. Il suffit d’avoir la volonté de le faire…! »