avril 2010

Michel Chartrand – Des témoignages empreints de respect

Article de Vincent Larouche paru dans Rue Frontenac le 17 avril 2010.


« Il faut rendre hommage à Michel Chartrand pour son travail pour la justice sociale, mais aussi pour son combat pour le français. Il a participé au mouvement McGill Français et s’était impliqué lors de la crise linguistique de Saint-Léonard dans les années 1970, en plus de participer à la campagne référendaire en 1995. »
– Mario Beaulieu, président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal

De nombreuses personnalités publiques étaient présentes aux funérailles de Michel Chartrand dont l’auteur Claude Robinson, le député bloquiste Pierre Paquette, le député de Québec solidaire, Amir Khadir, et l’autre porte-parole du parti, Françoise David, le dramaturge et auteur Jean-Claude Germain, le sculpteur Armand Vaillancourt, le député péquiste et ex-président de l’Union des artistes Pierre Curzi, accompagné de sa conjointe l’actrice Marie Tifo et le comédien Luc Picard qui a incarné Chartrand au petit écran. Voici les témoignages de quelques autres personnalités recueillis à la porte de l’église.

Salut Chartrand !

Texte paru dans le Journal de Québec le 17 avril 2010.

LONGUEUIL – Les funérailles de Michel Chartrand viennent tout juste de se terminer à Longueuil.

Plusieurs centaines de personnes se sont réunies à la cathédrale St-Antoine-de-Padoue de Longueuil pour rendre un dernier hommage au syndicaliste décédé d’un cancer du rein plus tôt cette semaine.

Parmi les personnalités présentes, nous retrouvions le comédien Luc Picard, l’artiste Claude Robinson, le président de la St-Jean-Baptiste Mario Beaulieu, la ministre Marguerite Blais, la chef de l’opposition à l’Hôtel de ville de Montréal Louise Harel et le député provincial de Québec Solidaire Amir Khadir.

Salle comble pour le rassemblement pour la loi 101

Texte publié dans le blogue de Louis Préfontaine.

La ministre Christine St-Pierre avait affirmé qu’elle voulait attendre de voir l’ampleur du rassemblement de cet après-midi, au Monument National, avant de décider s’il témoignait de l’humeur de la population quant à la nécessité d’agir pour imposer la loi 101 aux écoles non-subventionnées. Manifestement – selon ses propres règles – le Québec lui demande de bouger: c’est dans une salle comble qu’ont défilé artistes, représentants, politiciens et citoyens. Pire: il a fallu refuser l’accès à plus deux cents personnes tellement la salle débordait; en tout, on parle de plus de 1000 personnes qui se sont déplacées pour cette lecture de textes sur la loi 101.

Grand rassemblement pour l’application de la Loi 101 aux écoles non subventionnées « Le temps des faux-fuyants est terminé! »

Montréal, le 11 avril 2010 – C’est dans une salle remplie à craquer au point ou plusieurs centaines de personnes ont été refoulées à la porte, que près d’un millier de personnes ont participé à un rassemblement pour le renforcement de la Loi 101. Réunie cet après-midi au Monument National, à Montréal, la foule venait protester contre la décision de la Cour suprême du Canada d’invalider la Loi 104. Fruit d’une collaboration entre la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal et plus de vingt-cinq partenaires, cet événement visait à démontrer la vaste adhésion populaire à la Loi 101 et à demander au gouvernement Charest d’en appliquer les dispositions aux écoles non subventionnées, pour ainsi colmater la brèche des écoles-passerelles.

Unis contre le recul du français

Article de Frédérique Doyon paru dans Le Devoir du 12 avril 2010.

Un grand rassemblement a réuni hier artistes, politiciens et citoyens pour dénoncer le recul du français qu’annonce l’invalidation de la loi 104 par le jugement de la Cour suprême du Canada, en octobre dernier.

L’événement, orchestré par la Société Saint-Jean-Baptiste et 25 partenaires, a pris la forme d’un spectacle efficace rappelant l’histoire de la loi 101, truffé de discours à saveur nationaliste et de prestations musicales et artistiques, dans un Monument-National bondé et survolté. Le comédien Denis Trudel animait la fête.

Écoles passerelles: une manif presse Québec de réagir

Article de Annie Mathieu paru dans La Presse du 12 avril 2010.

Parce qu’elle constitue leur principal outil de travail et qu’elle «représente l’âme d’un peuple», de nombreux artistes ont lancé un vibrant plaidoyer en faveur de la langue française, dimanche, aux côtés de politiciens et de membres de la société civile lors du lancement d’une offensive visant à forcer le gouvernement Charest à renforcer et à appliquer la loi 101 aux écoles privées non-subventionnées.

L’événement, orchestré par la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB), a pris la forme d’un spectacle où, pendant plus de deux heures, l’évolution de la langue française au Québec a été illustrée par des textes lus par des artistes, par des projections sur grand écran et des prestations musicales.

Défense de la loi 101 – La Société Saint-Jean-Baptiste lance le début des hostilités

Article de Sarah-Maude Lefebvre paru dans le journal 24 H le 12 avril 2010.

Bien décidée à mobiliser l’ensemble de la société civile dans son combat contre l’invalidation de la loi 104, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB) a officialisé le début des hostilités, dimanche, par la tenue d’un spectacle au Monument National.

Plus de 25 organisations syndicales et partis politiques appuient la démarche de la SSJB qui a également recruté plusieurs artistes, dont Sophie Durocher, les Loco Locass, Dominique Pétain, Patrice Coquereau et Vincent Bilodeau, qui ont lu pendant cet événement des textes ayant marqué l’histoire du débat linguistique au Québec.

Loi 104 – Un spectacle dénonce l’injustice

Article paru dans le Journal de Montréal le 12 avril 2010.

Bien décidée à mobiliser l’ensemble de la société dans son combat contre l’invalidation de la loi 104, la Société Saint-Jean- Baptiste de Montréal (SSJB) a officialisé le début des hostilités, hier, par la tenue d’un spectacle au Monument-National.

Plus de 25 organisations syndicales et partis politiques appuient la démarche de la SSJB, qui a également recruté plusieurs artistes, dont Sophie Durocher, les Loco Locass, Dominique Pétain, Patrice Coquereau et Vincent Bilodeau, qui ont lu pendant cet événement des textes ayant marqué l’histoire du débat linguistique au Québec.

Écoles passerelles: Le gouvernement sommé de réagir

Article paru dans le site Internet de Radio-Canada le 11 avril 2010.

Un millier de militants du français s’étaient donné rendez-vous au Monument National à Montréal pour sommer Québec de recourir la clause dérogatoire afin de se soustraire au jugement de la Cour suprême invalidant la loi 104.

Le rassemblement, organisé par la Société St-Jean-Baptiste de Montréal, a pris la forme d’un spectacle retraçant l’évolution de la lutte pour la défense de la langue française au Québec.

Le gouvernement sommé de réagir

Article paru dans le site Internet de Radio-Canada le 11 avril 2010.

Un millier de militants du français s’étaient donné rendez-vous au Monument National à Montréal pour sommer Québec de recourir la clause dérogatoire afin de se soustraire au jugement de la Cour suprême invalidant la loi 104.

Le rassemblement, organisé par la Société St-Jean-Baptiste de Montréal, a pris la forme d’un spectacle retraçant l’évolution de la lutte pour la défense de la langue française au Québec.

Une grande manifestation culturelle pour renforcer et appliquer la loi 101

Article de Annie Mathieu paru dans le journal Metro le 11 avril 2010.

Parce qu’elle constitue leur principal outil de travail et qu’elle « représente l’âme d’un peuple », de nombreux artistes ont lancé un vibrant plaidoyer en faveur de la langue française, dimanche, aux côtés de politiciens et de membres de la société civile lors du lancement d’une offensive visant à forcer le gouvernement Charest à renforcer et appliquer la loi 101 aux écoles privées non-subventionnées.

L’événement, orchestré par la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB), a pris la forme d’un spectacle où, pendant plus de deux heures, l’évolution de la langue française au Québec a été illustrée par des textes lus par des artistes, par des projections sur grand écran et des prestations musicales.