janvier 2011

Le fleurdelisé, bien plus qu’un simple drapeau

MONTRÉAL – Une centaine d’automobilistes ont paradé en arborant fièrement le drapeau du Québec afin de célébrer le 63e anniversaire du fleurdelisé, dimanche midi, au centre-ville de Montréal. À l’approche du 21 janvier, date à laquelle le fleurdelisé a remplacé le drapeau de l’Union Jack sur la tour centrale de l’Hôtel du Parlement à Québec en 1948, la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) a procédé à son défilé d’automobiles et à la remise de drapeaux, d’autocollants et de feuillets sur l’histoire de la Belle Province.

La SSJBM invite les automobilistes à arborer le fleurdelisé pour célébrer l’anniversaire du drapeau du Québec

INVITATION AUX MÉDIAS POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
La SSJBM invite les automobilistes à arborer le fleurdelisé pour célébrer l’anniversaire du drapeau du Québec

Montréal, le 14 janvier 2011 – La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal invite la population à prendre part aux activités visant à célébrer l’anniversaire du drapeau du Québec. Il y a soixante-trois ans, le 21 janvier 1948, le fleurdelisé remplaçait pour la première fois l’Union Jack sur la tour centrale de l’Hôtel du Parlement, à Québec.

La SSJB ouvrira les célébrations par son traditionnel défilé populaire d’automobiles. Cette année des groupes d’automobilistes arborant le fleurdelisé défileront dans la région de Lanaudière pour ensuite se joindre au grand défilé à Montréal.

Les médias sont invités à un point de presse au départ du défilé :
le dimanche 16 janvier à 11 h 45
à la sortie du stationnement du pavillon Pierre-Dansereau de l’UQAM sur la rue Ontario

Décès de Me Marc Brière

Tout récemment, il animait encore de façon active, avec la complicité de son amie Andrée Lajoie, les rencontres du Mouvement Démocratie Souveraineté (MDS) qu’il avait fondé.

Le baiser empoisonné d’Alain Dubuc : de l’insulte à la perfidie

Un des journalistes les plus méprisants, Alain Dubuc, essaie de nous faire la leçon en disant qu’il faut ménager les politiciens et qu’on doit les critiquer dans le respect. Pourtant, ses chroniques sont fréquemment d’une médisance et d’une hostilité qui atteint des sommets lorsqu’elles portent sur les défenseurs du français ou les indépendantistes. J’y ai goûté régulièrement.

Gaston L’Heureux (1943-2011) – Un passionné de la radio et de la télé disparaît

Article du Devoir et la Presse canadienne paru dans Le Devoir du 10 janvier 2010.

M. L’Heureux était également un grand nationaliste. Il a milité activement à la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal de 1996 à 2001 et s’y impliquait encore ponctuellement; il devait justement prendre part à une conférence de presse de la Société le mois dernier. Il n’avait finalement pas pu se présenter pour des raisons de santé. «Il croyait à l’importance de l’indépendance et avait aussi un grand attachement à la culture québécoise et à sa promotion, a dit au Devoir l’ancien président de la SSJB, François Lemieux, qui l’a côtoyé. Il ne connaissait pas d’ennemi.»

Un nouveau groupe prend une position militante sur la souveraineté du Québec

Article de Andrew Chung de The Star.com paru le 4 janvier 2010. (Traduction Jacinthe Béliveau)

C’est le nouveau centre de recrutement pour la Milice Patriotique Québécoise, une obscure milice séparatiste, qui après environ une décennie d’existence, commence à peine à être connue. Le centre a ouvert ses portes à la fin du mois de novembre dans un quartier ouvrier de l’est de Montréal.

“Nous sommes contre toute forme de violence, de milice armée ou autre organisation du genre.”, affirme Mario Beaulieu, président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. « Ils parlent de la défense du territoire en cas de menace, mais qui décide de ce qu’est une menace ?“

La sauvegarde du français au Québec est une bataille perdue d’avance

Article de Barbara Yaffe paru dans The Vancouver Sun du 4 janvier 2011.
Traduction par Jacinthe Béliveau.

L’histoire récente nous a enseigné que lorsque les francophones du Québec ressentent de l’insécurité concernant leur langue et leur culture, les choses se compliquent dans le reste du Canada.
La plupart des Canadiens croient que les Québécois francophones d’après la Révolution tranquille et l’établissement du Parti Québécois au provincial et du Bloc Québécois au fédéral, ont eu un regain de confiance quant à la survie à long terme de leur langue.
Mais une nouvelle étude de l’Université d’Ottawa par le professeur en statistiques Charles Castonguay, qui est publiée dans le dernier numéro du journal Inroads, révèle une décroissance de la vitalité de la langue française au Québec et en Ontario.

«Le Québec, ce n’est pas un magasin»

Article de la Presse canadienne paru dans Le Devoir du 4 janvier 2010.

Il (Réjean Parent) a aussi exprimé sa déception face à l’attitude gouvernementale dans le dossier des écoles passerelles, qui permettent à des parents fortunés d’«acheter» pour leurs enfants un accès au réseau public anglophone. Il a rappelé qu’il y avait eu une forte mobilisation des membres de la CSQ craignant pour la survie du français.

Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé…

Article d’Hélène Clément paru dans Le Devoir du 31 décembre 2010.

«C’est toute une page de l’histoire du Québec que l’on peut lire dans ce livre biographique original, qui nous fait connaître davantage l’oeuvre et l’homme derrière la légende, précise dans sa préface Mario Beaulieu, président général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Puisse ce volume captivant se retrouver dans toutes les maisons d’éducation pour apprendre aux jeunes la fierté d’être Québécois. Félix, le patriote, avait le rêve d’avoir un pays normal, un Québec français inclusif et ouvert sur le monde. Un ouvrage crucial pour les générations à venir.»