Robert Dutrisac : « La réalité, c’est que souvent, dans les régions bilingues, « la langue de travail est l’anglais même avec des collègues bilingues [dont la langue première est l’anglais] parce que les francophones ont généralement une plus grande facilité en anglais que les anglophones en français », admet pourtant le juge, qui reconnaît « le lourd fardeau supplémentaire » que doivent porter les employés bilingues.
« Le francophone bilingue tient constamment compte des besoins des anglophones », concède le magistrat.
Pour alléger ce fardeau, le logiciel Google Translate peut servir, écrit-il le plus sérieusement du monde. »