Extrait de l’article de Pierre Dubuc paru dans L’Aut’Journal le 18 novembre 2009.
Sous le titre « Cégeps français : un peu d’ambition que diable », Jean-François Lisée trouve subitement que la proposition est « frileuse et défensive ». Il y va d’une surenchère en proposant de fusionner les cégeps « en un seul réseau de la prédominance du français » où tous les cégépiens, francophones, anglophones et allophones, recevraient « les trois quarts de leur formation en français et le quart en anglais ».