Comment miner notre propre langue à même nos fonds publics

N’étant pas un pays, mais une province, contrairement au Rest of Canada où l’anglais règne d’office, le Québec est condamné à protéger sa langue par voie législative. Essentiellement, par la Charte de la langue française, mieux connue sous le nom de « loi 101 ». Or, c’est une œuvre gravement inachevée.

Article du JOURNAL DE MONTRÉAL