« En relevant de l’Assemblée nationale, le commissaire jouirait de toute l’indépendance voulue pour évaluer l’efficacité des mesures de protection et de promotion mises en oeuvre par le gouvernement, y compris en matière de francisation des immigrants. Il pourrait se montrer critique, ce que l’OQLF ne peut manifestement pas faire. Il traiterait les plaintes des citoyens et mènerait des enquêtes, un rôle qui était dévolu à la CPLF. Mais de plus, il devrait assurer le suivi de la situation linguistique et fournir un état des lieux objectif. »