Article de Marie Allard paru dans La Presse le 26 avril 2011.
«Ça me semble inacceptable, dit Mario Beaulieu, président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Je trouve que le français devrait être au moins mentionné. Ces grands experts vont faire des études dans un milieu dont ils ne connaissent même pas la langue? Il y a un problème.»
Cette mollesse inquiète la Société Saint-Jean-Baptiste. «La multiplication de ces postes, par le fait du surfinancement des universités anglophones, a un impact sur l’anglicisation de la langue de travail», estime M. Beaulieu. Les universités anglophones de la province reçoivent 25% du financement de Québec et 35% des subventions fédérales, pour 8% de population de langue anglaise, dénonce-t-il.