Guillaume Marois | Facebook
Les données du recensement de 2016 viennent de sortir.
Voici ma première représentation graphique de celles-ci.
En bref:
– Le français diminue non seulement à Montréal, mais aussi en banlieue (et dans toue le Québec). En fait, c’est même à Laval que le français perd le plus de poids.
– Le déclin du français ne se fait pas seulement au profit des langues allophones, mais aussi au profit de l’anglais. Le poids de l’anglais parmi les langues officielles (anglophones/(francophones+anglophones)) est en hausse partout, et particulièrement Laval.
– Le bilinguisme anglais-français augmente chez les francophones du Québec, mais demeure stable chez les anglophones du reste du Canada.