Il y a cinquante ans, Saint-Léonard était le théâtre d’une véritable crise provoquée par le refus des parents francophones de laisser les écoles anglaises continuer à angliciser systématiquement les enfants des immigrants italiens. Le gouvernement unioniste de Jean-Jacques Bertrand avait manqué le bateau en consacrant le principe du libre choix de la langue d’enseignement par l’adoption du tristement célèbre « bill 63 ».
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« De toutes les mesures mises en avant par la loi 101, l’obligation pour les enfants d’immigrants de s’inscrire à l’école française a certainement été la plus déterminante et la plus efficace. Ouvrir la porte à la cohabitation serait tout simplement suicidaire. »
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