«Le plus important rassemblement s’est produit à Montréal, où plusieurs centaines de personnes ont participé à un circuit piétonnier organisé par la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB), débutant à la place Émilie-Gamelin et se terminant à la place d’Youville.
[..] Pauline Marois veut renforcer l’enseignement de l’histoire au Québec, du primaire au collégial, car elle estime qu’il est présentement défaillant. Ce renforcement prendra toutefois « quelques années » avant d’être mis en oeuvre, a-t-elle fait savoir lundi, lors d’un discours à l’occasion de la Journée nationale des patriotes, prononcé à Saint-Eustache.
L’histoire est mal enseignée au Québec, et ce, à tous les niveaux, pense la première ministre. « Nous croyons que l’on a un peu édulcoré ce qui se fait en enseignement de l’histoire au Québec, et c’est ce à quoi nous voulons revenir, les bases d’un enseignement qui permet de comprendre les différentes périodes de notre vie collective, dont celle des patriotes », a expliqué Mme Marois, lors d’un point de presse à Saint-Eustache.»
Article de Bahador Zabihiyan publié dans Le Devoir le 21 mai 2013