Article publié sur le site Agora VOX le 16 décembre 2011
La souveraineté du Québec représente une lueur d’espoir pour la province francophone du Canada, qui est encore allumée dans le cœur de beaucoup de Québécois. Malgré les accusations portés envers les partis qui la véhicule, ou les troubles politiques éprouvés au cours des dernières années au sein des gouvernements, cette indépendance continue de faire rêver ceux qui croit à l’autonomie décisionnelle reliée aux lois, à la gestion du territoire, aux impôts et à la protection de son environnement. De plus, les indépendantistes souhaitent l’appartenance de leurs ressources ainsi que la protection de la culture québécoise, qui définit l’identité de leur peuple.
En conclusion, Gaston Miron, poète et éditeur québécois, a affirmé un jour : « Tant que l’indépendance n’est pas faite, elle reste à faire. » Cette phrase est un exemple de détermination et d’espoir pour ceux qui souhaitent un jour voir leur province devenir un pays, afin de le gérer avec autonomie et selon les valeurs des québécois, dans le but d’en tirer des avantages liés aux retombées économiques, à la protection de la culture québécoise, à la défense de notre patrimoine ainsi qu’au bien-être de notre environnement. En expliquant tout les avantages d’un Québec souverain, la population a encore la possibilité de prendre possession de ce pouvoir qui s’offre à nous, dans l’optique éventuelle d’un nouveau référendum. Contrairement à la pensée de certains, la souveraineté n’est pas un le débat exclusif d’une époque, ni un débat dépassé et révolu, mais bien une lueur d’espoir qu’il faut défendre encore en 2011, et pour les années à venir, avec conviction pour le peuple que forme la nation québécoise.