La valse des milliards

 

« Laisser le grand capital étranger entailler notre territoire pour exporter une ressource qu’il faudrait laisser en terre n’élargira pas les possibles.

 

Au contraire, en intégrant le Québec dans une économie pétrolière qui est totalement absente de son portefeuille de ressources, la décision d’autoriser un tel projet handicapera pour longtemps notre capacité à valoriser nos ressources.

 

L’industrie pétrolière compte pour très peu dans le PIB québécois, moins que celle du tourisme, moins même que celle des mines. »

 

 

Lire ici l’éditorial complet de Robert Laplante