Comme me le faisait remarquer Lacroix, comment la communauté anglophone pourrait-elle être félicitée, tenue pour responsable des succès de diplomation des cégeps anglophones alors que les étudiants de langue maternelle anglaise y sont minoritaires ? En fait, les « anglos de souche » sont minoritaires dans « leurs » cégeps… depuis 2001.
Vous devinez la vraie cause de cette plus grande réussite des cégeps anglophones.
Le cégep anglophone Dawson, par exemple, n’accepte qu’un candidat sur trois. Or, 40 % de ses étudiants sont des francophones. »
Article du Journal de Montréal