Sylvia Pelletier-Gravel dans Le Devoir, le 12 mars 2014
[…] Agiter le vieux démon de la peur, c’est faire insulte à l’intelligence de notre peuple. D’oser suggérer que notre opinion ne devrait pas être sollicitée est dégradant pour une formation qui se dit libérale. Notre peuple a fait d’énormes pas pour sortir de son asservissement. Nous sommes fiers, vaccinés et loin d’être trouillards. De grâce, par respect pour ses membres et s’il en est encore capable, que ce parti cesse de se dégrader et qu’il change sa ritournelle. […]
[…] Le refus d’être consulté serait pour les Québécois et les Québécoises un retour à la Grande Noirceur. C’est pourtant la menace que fait planer le Parti libéral par le biais de son chef et de ses candidats(es).[…]