Texte d’Yves Beauchemin paru dans Le Devoir du 17 janvier 2010.
« Et puis, il y a cette façon qu’il a de défendre le français (en recul à Montréal) par de belles paroles vibrantes d’émotion, mais en prenant bien soin de rester les bras croisés afin de ne pas indisposer la moitié anglophone de sa base électorale. De quel côté êtes-vous, John James ? »