Article de Sébastien Ménard du Journal de Montréal paru le 10 juin 2011.
«Le Québec s’anglicise.»
«Ça reflète l’anglicisation qu’on voit dans la région métropolitaine, et un peu partout au Québec. Les gens sentent que le Québec s’anglicise.»
«Les entreprises exigent une connaissance de l’anglais alors que souvent, ce n’est pas nécessaire.»
«Nous, on n’est pas contre l’apprentissage d’une deuxième ou d’une troisième langue. Mais le monde du travail s’anglicise beaucoup et les parents ont des attentes. Ils veulent que leurs enfants deviennent parfaitement bilingues.»
«Or, il y a déjà beaucoup plus de gens qui connaissent l’anglais que ce dont le marché du travail a réellement besoin.»
«Ce qui est important, pour le Québec, c’est de former des gens dans des domaines spécialisés. Pas de former des citoyens bilingues.»
Propos de Mario Beaulieu, Mouvement Québec français et Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal