Par Jules Falardeau, dans le Huffington Post, le 10 mars 2014
Il y a tant de choses que j’aimerais dire sur mon ami Reggie Chartrand. En même temps, la réalité nous rattrape parfois, les idées se bousculent, mais les mots nous manquent. Je me rappelle avoir rencontré Reggie pour la première fois alors que j’avais environ 14 ans, à la boxe au «Forum». Mon père me disait que c’était un grand bonhomme qui avait fait beaucoup pour l’indépendance du Québec.