Mais la culture pro-anglais du HEC fait en sorte qu’il y a un véritable «tabou» et une certaine «paresse» autour de la question, avance Julien, qui se serait déjà fait répondre qu’il n’était «pas ouvert d’esprit» par un chargé de cours dans le passé. En 2017, Le Journal de Montréal publiait d’ailleurs un dossier sur l’anglicisation des cours et programmes au HEC, que dénonçaient alors plusieurs professeurs. Par exemple, des enseignants vont fournir des acétates à peine traduits de l’anglais. Des conférenciers francophones vont s’exprimer en anglais devant des étudiants francophones, illustre Julien.
«C’est inquiétant», s’exclame Maxime Laporte du Mouvement Québec Français, qui observe cette tendance dans plusieurs établissements francophones.
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