«Le gouvernement du Québec met sur pied une Commission d’examen pour analyser les impacts de la réforme de l’assurance-emploi et y proposer des changements, voire des solutions de remplacement. Nous disons : enfin !
[…] Le gouvernement fédéral n’a jamais consulté les représentants des cotisants avant d’imposer en 2012 cette si brutale réforme. Les organisations syndicales, les associations patronales et autres représentants de la société civile n’ont jamais pu s’exprimer. Pas plus que les gouvernements provinciaux, qui devront pourtant assumer, par extension, la facture de ces compressions».
Par Pierre Céré
Publié dans Le Devoir