« Se trouvera-t-il quelqu’un, au sein de la collectivité franco-ontarienne ou dans les médias, pour remettre les pendules à l’heure? Si on ne le fait pas, et ce, de façon énergique, la population étudiante franco-ontarienne sera condamnée pour longtemps (pour toujours?) à fréquenter des institutions bilingues anglicisantes comme l’Université d’Ottawa et l’Université Laurentienne… »
— Pierre Allard
Par Pierre Allard | Lettres du front