octobre 2010

La Loi sur les mesures de guerre était indigne d’une démocratie, affirme Landry

Article publié par Hugo Prévost de La Presse Canadienne sur le site Internet du 98,% FM le 16 octobre 2010.

L’indépendance du Québec est toujours d’actualité, 40 ans après la Crise d’octobre: voilà le message véhiculé samedi par différentes personnalités, lors du dévoilement du monument dédié aux victimes de la rafle du 16 octobre 1970, devant les locaux de la Société Saint-Jean-Baptiste, à Montréal.

Des actions à faire pour la manifestation-spectacle contre le bâillon et la loi 103 lundi à 18 h

1) C’est officiel: le bâillon sera imposé lundi… Invitez vos contacts à la manifestation-spectacle à partir du lien suivant:
http://www.facebook.com/event.php?eid=149030998471723

2)Adoptez l’image du lien suivant comme photo de profil:
http://www.youtube.com/watch?v=ILTsTLVABzc

3) Propagez les vidéos suivants sur « facebook »:
Bande dessinée qui explique le projet de loi 103 :: http://www.youtube.com/watch?v=ILTsTLVABzc

La Société Saint-Jean-Baptiste et la Fondation Octobre 70 inaugurent le Monument commémoratif des prisonniers d’opinion d’octobre 1970

Montréal, le 15 octobre 2010 – Quarante ans jour pour jour après la proclamation de la Loi sur les mesures de guerre et alors qu’on découvre l’existence du programme PROFUNC de surveillance et de détention illimitée de militants de gauche par la GRC, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal et la Fondation Octobre 70 dévoileront un monument portant les noms de centaines de Québécoises et de Québécois incarcérés au mépris total de leurs droits les plus fondamentaux. L’inauguration de ce monument commémoratif des prisonniers d’opinion d’octobre 1970 aura lieue :

Le samedi 16 octobre à 13 h 30
Devant la maison Ludger-Duvernay,
située au 82, rue Sherbrooke Ouest (angle Saint-Urbain), à Montréal

Le bâillon lundi pour la loi 103 – Le gouvernement invoque l’urgence pour éviter un vide juridique

Article de Robert Dutrisac paru dans Le Devoir du 15 octobre 2010.

Pendant que les parlementaires palabreront lundi à l’Assemblée nationale — la procédure du bâillon prévoit un débat d’une durée minimale de 14 heures —, la Coalition contre la loi 103 tiendra une «manifestation-spectacle» intitulée Notre langue n’a pas de prix, la loi 101 n’est pas à vendre, de 18 h à 20 h devant les bureaux du premier ministre Jean Charest à Montréal. «Il faut que ça donne le signal du réveil de la population», estime le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu.

Entrevue de Mario Beaulieu à Radio-Canada

Entrevue de Mario Beaulieu à Radio-Canada le 14 octobre 2010.

Visionnez la partie 3 du bulletin de nouvelles.
Copiez-collez ce lien:
http://www.radio-canada.ca/audio-video/#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/RDI2/TelejournalSurRdi201010141700.asx&pos=2

Le bâillon pour les écoles passerelles

Article de Jean-Marc Salvet paru dans Le Soleil du 14 octobre 2010.

Devant ce qui n’était encore qu’une possibilité, mercredi, le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, a fait savoir qu’il était «complètement inacceptable de faire adopter une loi comme celle-là, cruciale pour l’avenir du français, sans l’unanimité de l’Assemblée nationale». Il a parlé d’«insulte pour le peuple québécois».

La majorité des mémoires présentés en commission parlementaire le mois dernier ont réclamé l’application de la loi 101 aux écoles non subventionnées.

La Coalition contre la loi 103 craint le bâillon

Article de Pierre Saint-Arnaud de la Presse Canadienne paru dans La Presse du 13 octobre 2010.

«C’est complètement inacceptable de faire adopter une loi comme celle-là, cruciale pour l’avenir du français, sans l’unanimité de l’Assemblée nationale», lance le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal et porte-parole de la Coalition, Mario Beaulieu. «Utiliser le bâillon serait vraiment une insulte pour le peuple québécois», ajoute-t-il.

Quelques traîtres mots

Article de Robert Dutrisac paru dans Le Devoir du 9 octobre 2010.

«Ce sont des traîtres!» C’est ainsi que la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB-M) a stigmatisé, en gros caractères dans une pleine page de publicité publiée par Le Devoir le 4 décembre 1981, les 70 députés fédéraux du Québec qui avaient voté, deux jours plus tôt, en faveur de la résolution constitutionnelle intervenue sans l’accord du Québec, prélude au rapatriement de la Constitution canadienne l’année suivante.

Marois: l’assimilation à l’anglais guette les francophones du Québec

Article de Paul Journet paru dans La Presse du 28 septembre 2010.

Le président de la Société Saint-Jean-Baptiste, Mario Beaulieu, indique que 12% des francophones de l’ouest de Montréal sont «assimilés» – c’est-à-dire qu’ils parlent anglais à la maison même si le français est leur langue maternelle (chiffres tirés du recensement de 2001).
La Coalition a pris la parole mardi au moment où se terminaient les audiences de la commission parlementaire qui étudie le projet de loi 103. Au total, 43 mémoires ont été présentés, dont 36 demandent l’application de la loi 101 aux écoles non subventionnées.