novembre 2010

Des honneurs posthumes rendus à Marcel Robidas

Article de Denis Bélanger paru dans le Courrier du Sud du 21 novembre 2010.

LONGUEUIL. L’ancien maire de Longueuil, Marcel Robidas a reçu un hommage posthume de la part de la Société Saint-Jean-Bapitste (SSJB) de Montréal lors de la cérémonie québécoise annuelle du Jour du Souvenir tenu au cimetière Notre-Dame-des-Neiges.
Grand militant de la SSJB, M. Robidas a participé à la campagne de libération de la Belgique en 1945 alors qu’il faisait partie des Fusiliers Mont-Royal. Plusieurs politiciens québécois et représentants consulaires de d’autres pays ont assisté à la cérémonie. Le député péquiste Scott McKay a de plus remis la médaille de l’Assemblée nationale aux vétérans de guerre Alexandre Doucette, Roger Lalonde, Pierre Marceau, Luc Charron, Marcel Champagne, Alphonse Martel et Armand Crevier.

Commission de l’immigration: le français bafoué

Article de Stéphane Handfield paru dans La Presse du 18 novembre 2010.

Je me permets de vous faire part de mon expérience personnelle dans le domaine du droit de l’immigration et, surtout, des problèmes vécus au niveau de la langue française.
Depuis quelques années, il devient de plus en plus difficile d’obtenir des services en français devant la CISR. En voici quelques exemples : refus d’obtenir une audience en français, refus de transmettre la documentation en français, commissaires (décideurs) unilingues anglais, communications en anglais, impossibilité d’obtenir les services d’interprète en français.

Mort d’un politicien

Texte d’Yves Beauchemin paru dans Le Devoir du 17 janvier 2010.

« Et puis, il y a cette façon qu’il a de défendre le français (en recul à Montréal) par de belles paroles vibrantes d’émotion, mais en prenant bien soin de rester les bras croisés afin de ne pas indisposer la moitié anglophone de sa base électorale. De quel côté êtes-vous, John James ? »

Impératif français et la SSJB de Montréal – Non aux cégeps anglicisant

GATINEAU, QC, le 16 nov. – Impératif français s’inquiète des orientations malsaines adoptées au Conseil général du Parti libéral du Québec le 13 novembre dernier. En totale contradiction avec le mouvement de francisation des cégeps observé dans la société civile depuis plusieurs années, les propositions libérales adoptées ouvrent la porte au bilinguisme comme mode d’acquisition des connaissances pour les étudiants francophones et allophones de niveau collégial.

Impératif français et la SSJB de Montréal – Non aux cégeps anglicisant

Communiqué. Gatineau, le 16 novembre – Impératif français et la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal s’inquiètent des orientations malsaines adoptées au Conseil général du Parti libéral du Québec le 13 novembre dernier. En totale contradiction avec le mouvement de francisation des cégeps observé dans la société civile depuis plusieurs années, les propositions libérales adoptées ouvrent la porte au bilinguisme comme mode d’acquisition des connaissances pour les étudiants francophones et allophones de niveau collégial.

Images de canal V pour le Jour du Souvenir

Canal V est venu prendre quelques images au cimetière Notre-Dame-des-Neiges après la cérémonie du Jour du Souvenir organisée par la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Vous pouvez les voir à la minute 5:38 de l’extrait vidéo suivant:
http://vtele.ca/videos/dumont/corruption-maclean-s-avait-raison_21104.php

Gilles Laporte, patriote de l’année !

Article paru dans le site Internet de Promo 9e Art le 15 novembre 2010.

Vendredi le 12 novembre dernier, la Société Saint-Jean-Bapstiste de Montréal a annoncé que le récipiendaire du titre de Patriote de l’année 2010-2011 de la SSJB est Monsieur Gilles Laporte.
Gilles Laporte est historien spécialiste de l’histoire du XIXe siècle québécois, professeur au cégep du Vieux Montréal et chargé de cours à l’UQAM, où il est responsable du seul cours au Canada consacré aux rébellions et aux patriotes de 1837-1838.

Gilles Laporte, patriote de l’année

Article de Mélanie Colleu paru dans le journal 24 H le 12 novembre 2010.

« À la fois surpris et ravi de voir ses actions récompensées, Gilles Laporte se veut « patriote de l’éducation » et souhaite profiter de ce titre pour multiplier ses interventions auprès de la population québécoise. « C’est au titre d’enseignant que j’accepte ce prix. L’éducation est à la dérive, il faut faire bouger les choses », a-t-il déclaré. »

« Mario Beaulieu, le président de la société Saint-Jean-Baptiste, a déclaré que cette nomination récompensait l’engagement général de Gilles Laporte. Un prix qui symbolise selon lui. « La lutte des patriotes de 1837-1838 affiliée à celle des Québécois d’aujourd’hui, pour la liberté, la démocratie et la reconnaissance de l’identité nationale québécoise ». La société Saint-Jean-Baptiste du Québec décerne ce titre de « Patriote de l’année » depuis 1975.  »

Gilles Laporte, Patriote de l’année

Article de la Presse Canadienne paru dans Le Devoir du 13 novembre 2010.

Après plusieurs dirigeants politiques, artistes et syndicalistes, le titre de Patriote de l’année est accordé cette année à un historien, Gilles Laporte. Le professeur d’histoire au Cégep du Vieux-Montréal et chargé de cours à l’Université du Québec à Montréal a reçu sa médaille de Patriote de l’année 2010-2011 hier, des mains du président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu.