novembre 2010

Résistance nationaliste face à une potentielle rue Richler

Article paru dans la Presse Canadienne du 4 novembre 2010.

« Je ne crois pas que ce soit une bonne idée au Québec à cause des divisions sociales suites aux déclarations de M. Richler. » – Mario Beaulieu

« Beaulieu a dit que Richler présentait généralement un faux portrait du Québec. »

La dernière cène

Article d’Éric Duhaime paru dans le Journal de Québec le 2 novembre 2010.

Un étrange sentiment de dernier repas d’un ténor du mouvement souverainiste en compagnies de ses ex-collaborateurs et ex-collègues régnait vendredi soir dernier, lors de l’attendu discours de Joseph Facal devant la Ligue de l’Action Nationale.
Un de ses ex-disciples, le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, le trahira sur place en l’accusant d’être à genou. Des membres de son ex-famille politique le renieront trois fois avant que le chant du coq. Finalement, sa crucifixion par les plus impatients et âgés ténors de l’indépendance ne saurait tarder.

La SSJB ne veut pas d’une rue Mordecai-Richler

Article écrit par Nelson Wyatt pour la Presse Canadienne paru dans le journal Metro le 4 novembre 2010.

Le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal refuse qu’une rue soit rebaptisée du nom de l’écrivain anglo-québécois Mordecai Richler. Selon Mario Beaulieu, Richler, l’auteur, entre autres, de «L’Apprentissage de Duddy Kravitz» était un anti-québécois raciste.

Il cite en exemple le fait que Richler a décrit le chef des Patriotes, Louis-Joseph Papineau, comme un antisémite alors que c’est lui qui aurait fait adopter la Loi de 1832 garantissant aux Juifs l’égalité des droits. »

La SSJB Montréal reçoit le président de la Société d’histoire

Article paru dans le site Montérégie Web.com le 2 novembre 2010.

Les Bateaux à vapeur sur le Richelieu au temps des Patriotes (1820-1840), tel est le sujet de la conférence qui sera présentée le 4 novembre par Paul-Henri Hudon, président de la Société d’histoire de la seigneurie de Chambly, à l’invitation de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal.

Le retour de Facal en politique n’est pas pour demain

Article de Mélissa Guillemette paru dans Le Devoir du 30 octobre 2010.

« Les spectacteurs qui l’ont écouté attentivement au Lion d’Or ont, en partie, ovationné son allocution, mais certains l’ont confronté à ses idées lors de la période de questions, comme le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu.  »