novembre 2010

L’euthanasie, la construction, l’éthique et l’histoire du Québec

Émission de Christiane Charette qui traite de l’étude sur l’enseignement de l’histoire au collégial. M. Benoît Dubreuil, membre du Conseil général de la SSJBM a participé à la discussion.

Copiez ce lien: http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBF/ChristianeCharette201011260905_1.asx

Oublier

Article de Denise Bombardier paru dans Le Devoir du 27 novembre 2010.

Car il est tragique que les héritiers d’un peuple qui n’a connu aucune victoire collective, mais qui a plutôt accumulé les défaites, qui est déchiré en permanence au sujet de son avenir et se considère désormais comme corrompu, soient privés de la mémoire, si l’on se fie à l’étude de la Fondation Lionel-Groulx. La Coalition pour l’histoire, qui regroupe avant tout la Société Saint-Jean-Baptiste et la Fondation Lionel-Groulx, se mobilise devant cette étude accablante: 23 % seulement des cégépiens suivent des cours d’histoire et, de ce nombre, 8 % seulement ont des cours d’histoire du Québec. Dans 75 % des cégeps, le cours d’histoire a disparu. Autant dire qu’on l’a éradiqué.

L’histoire, l’enfant pauvre de l’éducation collégiale

Tribune de Pierre Maisonneuve le 25 novembre 2010.

Les invités de Pierre Maisonneuve : Gilles Laporte, historien et professeur d’histoire au Cégep du Vieux Montréal, Félix Bouvier, vice-président de la Société des professeurs d’histoire du Québec et didacticien des sciences humaines à l’UQTR, et Léo Bureau-Blouin, président de la Fédération étudiante collégiale du Québec.

Écoutez la tribune en copiant ce lien: http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBF/MaisonneuveEnDirect201011251215_1.asx

Le cours d’histoire du Québec en voie de disparition au cégep

Article d’Arianne Lacoursière, dans La Presse du 25 nouvembre 2010

«L’enseignement de l’histoire est déficient au collégial et aussi au secondaire. C’est déplorable parce qu’apprendre notre histoire, c’est essentiel. Ça nous permet de fonctionner en société», croit le président de la Société Saint-Jean-Baptiste, Mario Beaulieu. «La situation actuelle est inquiétante et nécessite une intervention d’urgence du gouvernement», croit le président de la fondation Lionel-Groulx, Claude Béland, qui souligne qu’une pétition circule actuellement sur ce sujet.

L’histoire du Québec à la trappe

Article de Charles Poulin paru dans Rue Frontenac.com 24 janvier 2010.

L’étude Je ne me souviens plus, menée par les chercheurs Gilles Laporte, historien et professeur d’histoire au cégep du Vieux-Montréal, et Myriam D’Arcy, candidate à la maîtrise en histoire à l’Université du Québec à Montréal, a été effectuée entre mai et août 2010 auprès de tous les cégeps et des 296 enseignants en histoire au collégial au Québec.

Le constat le plus frappant est que la discipline «histoire» n’est présente au niveau collégial que dans le seul programme de sciences humaines où sont inscrits 23,7% de l’ensemble des étudiants. Cette minorité qui avait accès à un cours d’histoire, en 2008-2009, a suivi majoritairement le cours Histoire de la civilisation occidentale, et seulement 5% ont accès à un cours sur l’histoire québécoise.

«Le Québec ne se souvient plus!»

Article de Josianne Desjardins paru dans 24 H le 24 novembre 2010.

De plus, la Fondation déplore le fait que le mot Québec ne se retrouve à aucun endroit dans le descriptif du programme de sciences humaines, à l’exception de la mention de référence du «ministère de l’Éducation du Québec».
Afin de remédier à l’offre actuelle du cours d’histoire du Québec, évaluée à 10% de tous les cours d’histoire depuis 1995, la Fondation Lionel-Groulx « propose l’instauration d’un cours obligatoire d’histoire nationale dans la formation générale de tous les étudiants du réseau collégial».

L’histoire du Québec n’est pas assez enseignée au collégial, selon une étude

Article de La Presse Canadienne paru dans Cyberpresse le 24 novembre 2010.

L’enseignement de l’histoire du Québec au collégial est en déclin, selon une étude dévoilée mercredi par la Fondation Lionel-Groulx, qui suggère l’instauration d’un cours obligatoire dans la formation générale de tous les étudiants.
Les auteurs de la recherche intitulée «Je ne me souviens plus», l’historien Gilles Laporte et Myriam D’Arcy, parlent même d’un «véritable désastre éducatif national».

L’histoire du Québec en voie de disparition au cégep

Article de Lisa-Marie Gervais paru dans Le Devoir du 24 novembre 2010.

Pour réaliser leur étude, les deux chercheurs, la candidate à la maîtrise en histoire Myriam D’Arcy et l’enseignant au cégep Gilles Laporte, récemment décoré du titre du Patriote de l’année, ont scruté les effectifs étudiants et leurs choix de matières dans 17 établissements collégiaux, qui, en proportion, représente le tiers du réseau des effectifs du réseau. Ils ont également envoyé des questionnaires à près de 300 enseignants dans les différents collèges du Québec entre mai et août 2010.

Une milice patriotique se donne pignon sur rue

Article paru dans le site de Radio-Canada le 23 novembre 2010.

Ce projet fait réagir certains indépendantistes québécois, comme le président de la Société Saint-Jean Baptiste, Mario Beaulieu.

Quand on se présente comme étant à la défense du peuple québécois et du territoire contre d’éventuelles attaques, là je pense qu’il y aurait lieu de préciser la mission.
— Mario Beaulieu

Pour voir le reportage et le point de vue de Mario Beaulieu, copiez ce lien: http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/RDI2/TelejournalSurRdi201011231700_5.asx&epr=true

Dévoilement de résultats renversants sur l’enseignement de l’histoire nationale dans le réseau collégial public du Québec

MONTRÉAL, le 22 novembre 2010 – Le président de la Fondation Lionel-Groulx, M. Claude Béland, tiendra une conférence de presse le mercredi 24 novembre 2010 à 10 h 30. Les résultats d’une étude sur la place de l’histoire en général et de celle du Québec en particulier dans la formation de niveau collégial, seront révélés.

DATE : Mercredi 24 novembre 2010
HEURE : 10 h 30
LIEU : 261 avenue Bloomfield, Outremont (Québec) H2V 3R6

Intervenants :

• M. Claude Béland, président de la Fondation Lionel-Groulx
• M. Pierre Graveline,
directeur général de la Fondation Lionel-Groulx
• M. Robert Comeau,
historien et professeur
à l’Université du Québec à Montréal et porte-parole de la Coalition pour l’histoire au Québec
• M. Gilles Laporte, chercheur, historien et professeur d’histoire au cégep du Vieux-Montréal.
• Mme Myriam D’Arcy, chercheur et candidate à la maîtrise en histoire à l’Université du Québec à Montréal.

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