mai 2011

«Il faut que le français reste la langue du Québec»

Article de Marie-Ève Bourgoing-Alarie paru dans L’Hebdo Journal du 28 mai 2011.

«Tous les ans, il entre au pays l’équivalent d’un comté en immigrants. Si on laisse perdurer ça, le français va se perdre», affirme Roger Kemp, porte-parole du Mouvement Québec français, région Mauricie.

Mario Beaulieu, président du Mouvement Québec français, précise: «Au Québec, nous sommes tombés sous le seuil de 80% de la population dont la langue maternelle est le français. Une des causes est le taux d’immigration. C’est que lorsque les nouveaux arrivants allophones changent de langue, ils se tournent surtout vers l’anglais».

L’anglais: une menace pour la région?

Article de Martin Francoeur paru dans Le Nouvelliste le 26 mai 2011.

Partageant les mêmes objectifs que son équivalent montréalais – le Mouvement Montréal français -, l’organisme veut sensibiliser la population à «l’importance de faire du français la véritable langue officielle et commune pour en assurer l’avenir au Québec».

Selon Roger Kemp, principal instigateur et porte-parole de cette branche régionale du Mouvement, Trois-Rivières et la Mauricie ne sont pas à l’abri des conséquences de l’envahissement de l’anglais dans la région métropolitaine.

«De plus en plus de voix s’élèvent pour dire que la situation de la langue française se dégrade à Montréal et qu’il devient difficile de se faire répondre ou servir en français dans certains commerces de la Métropole. Cette situation fait tache d’huile et nous en ressentons les effets en Mauricie», explique-t-il.

Journée nationale des patriotes – Duceppe a passé son tour pour le Gala des patriotes

Article de Marco Bélair-Cirino paru dans Le Devoir du 24 mai 2011.

«Il faut se souvenir des […] patriotes qui ont donné leur vie pour la démocratie, pour la lutte contre la corruption politique et l’indépendance du Québec», avait lancé le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, avant le coup d’envoi de la manifestation.

Les Patriotes défilent à Montréal

Article de Catherine Handfiled paru dans La Presse du 24 mai 2011.

Mario Beaulieu, président de la Société Saint-Jean-Baptiste, a souligné l’importance de se souvenir des patriotes, qui ont combattu les troupes britanniques au XIXe siècle. «La connaissance du passé nous permet de comprendre le présent et d’envisager l’avenir», a-t-il dit.

Une sombre fête des Patriotes

Reportage de TVA Nouvelles sur la commémoration de la Journée nationale des Patriotes.

http://tvanouvelles.ca/video/une-sombre-f%C3%AAte-des-patriotes/956523480001

Plusieurs centaines de personnes pour la marche des Patriotes

Article de Charles Lecavalier paru dans le site QMI du 23 mai 2011.

«La foule est plus nombreuse que l’an dernier. Les Québécois sont fouettés par la défaite du Bloc», a affirmé Mario Beaulieu, président de la Société-Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal. Ce dernier soutient que la montée du niveau d’appui de la population à la SSJB est comparable à celle qui a suivi la défaite référendaire du camp du Oui en 1995.

Les membres du JPQ marquent le pas avec un discours très méfiant à l’égard des gouvernements. «Les patriotes se battaient aussi contre la culture de corruption des gouvernements. L’indépendance est trop importante pour la laisser aux partis politiques», a soutenu Paolo Zambito, porte-parole du JPQ.

Pour cette raison, la SSJB et le JPQ sont membres de la coalition Cap sur l’indépendance. Celle-ci veut établir une campagne permanente pour la souveraineté. Ils rappellent ainsi que celle-ci n’appartient pas au uniquement au Parti québécois.

500 personnes se souviennent des patriotes

Article de Gabrielle Duchaine paru dans le site de Rue Frontenac.com le 23 mai 2011.

« On a senti que la défaite du Bloc avait été difficile pour les militants et qu’elle a ravivé l’engagement de la population », ajoute le président de la Société Saint-Jean baptiste, Mario Beaulieu, qui a aussi fait une allocution devant une foule colorée particulièrement jeune.
Beaucoup d’adolescents, de jeunes adultes et de familles étaient sur place. Le temps radieux inattendu en a attiré plusieurs. D’autres, sont des abonnés à la fête.

CAP SUR L’INDÉPENDANCE À L’OLYMPIA «En 1995, j’aurais voté oui, mais j’étais trop petit»

Article de Marie-France Pellerin paru dans le Journal de Montréal et canoe.ca
Loco Locass, Marie-Élaine Thibert, Paul Piché et Bernard Adamus ont témoigné de leur appui au réseau Cap sur l’indépendance, tout en soulignant la Journée nationale des patriotes, samedi soir à l’Olympia.
Mario Beaulieu, président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal: «L’indépendance, c’est le pouvoir d’agir par nous-mêmes. C’est ce qui nous permettra d’assurer nous-mêmes nos relations internationales et donc d’être plus ouverts sur le monde. C’est essentiel pour survivre en tant que peuple et contrer le déclin du français.» Photographie Mathieu Breton:
Spectacle

Paul Piché, Marie-Élaine Thibert, Loco Locass et Bernard Adamus 1000 voix se sont unies pour mettre le cap sur l’indépendance

Montréal, le 22 mai 2011 – Plus d’un millier de participants ont uni leurs voix à celles des artistes rassemblés à l’occasion d’un spectacle percutant, le samedi 21 mai, à 19 h 30, à l’Olympia, pour marquer la Journée nationale des patriotes et le lancement officiel du réseau Cap sur l’indépendance. Des artistes engagés, comme Marie-Élaine Thibert, porte-parole de la Journée nationale des patriotes, Paul Piché, Loco Locass et Bernard Adamus ont partagé la scène et interprété des chansons inspirantes évoquant le pays auquel nous aspirons.

Cap sur l’indépendance: Une campagne citoyenne permanente pour l’indépendance du Québec

Article de Valérie Girard paru dans le journal Metro du 19 mai 2011.

Le réseau Cap sur l’indépendance comprend vingt organismes souverainistes, dont le Mouvement national des Québécois et Québécoises et la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, qui regroupent des milliers de personnes. «Cap sur l’indépendance n’est pas un parti politique, ce n’est pas non plus un regroupement partisan, a affirmé Mme Dorion. Il appartient à tous les Québécois qui croient à la liberté collective.»