Réunion du 28 novembre 2012 tenue à la Maison culturelle
Le président fait rapport de la réunion des présidents de la SSJB: – M. Mario Beaulieu a annoncé aux présidents de sections la création d’une
Le président fait rapport de la réunion des présidents de la SSJB: – M. Mario Beaulieu a annoncé aux présidents de sections la création d’une
Article de Laurent Dionne de l’agence QMI, publié dans le Journal de Montréal
Enchantés par les gains de partis indépendantistes aux élections catalanes, des organismes souverainistes québécois estiment désormais que les Québécois devraient s’inspirer du peuple de cette région espagnole.
En guise de solidarité aux Catalans, la Société Saint-Jean-Baptiste a même hissé leur drapeau rouge et jaune au centre-ville de Montréal.
Article de Marie-Ève Shaffer publié dans le journal Métro le 26 octobre 2012
Comme en Catalogne, c’est la société civile qui donnera un nouveau souffle à la marche vers l’indépendance du Québec, croient la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal et la Ligue d’action nationale, qui se sont réjouit lundi de l’élection de 87 députés indépendantistes catalans.
En signe de solidarité avec le peuple catalan et ses aspirations souverainistes clairement exprimées lors des élections générales d’hier, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB) a hissée aujourd’hui devant la maison Ludger-Duvernay le drapeau national de la Catalogne.
20 novembre 2012 – Salle comble durant la remise des prix du patriote de l’année 2012.
Article de Christian Rioux publié dans le journal Le Devoir le 22 novembre 2012
« Ici, nous sommes indépendantistes de père en fils », dit le maire sous les arcades de sa mairie dont certaines remontent au XIIe siècle. « Vic est fière de ses origines catalanes, ce qui ne nous empêche pas d’être une ville universitaire moderne. Mais jamais je n’aurais pensé que les choses se précipiteraient ainsi. » Le maire de Vic est aujourd’hui prêt à parier que la Catalogne sera indépendante avant l’Écosse et le Québec. […]
Pour la plupart des observateurs, cette poussée indépendantiste, qui a pris tout le monde par surprise, n’est pas un épiphénomène dû à la crise. Ce n’est pas non plus simplement l’affaire des partis politiques, comme en Écosse et parfois même au Québec. Depuis 25 ans, le petit parti indépendantiste catalan Esquerra Republicana (ERC) n’était pourtant jamais parvenu à rallier plus de 10 ou 15 % de la population. Quant au grand parti nationaliste Convergencia y unio (CiU), il maintenait une ambiguïté volontaire sur le sujet, se contentant de revendiquer une augmentation de l’autonomie et un nouveau pacte fiscal.
Lettre de lecteur de Isabelle Séguin publiée dans le journal Le Devoir le 22 novembre 2012
«Votre raisonnement m’apparaît être une véritable contorsion de l’esprit. Que le Québécois soit francophone de naissance n’est précisé nulle part ; à l’inverse, il me semble, du Canadien français, qui porte en son nom ses origines françaises et son parcours historique suivant la Conquête. Canadien français m’apparaît alors plus exclusif ou rétrograde : il réfère, lui, au « pure laine ». S’il ne s’agissait que de langue, on aurait dit, à l’instar de Franco-Manitobain ou Franco-Ontarien, « Franco-Canadien ».
Vous avez fallacieusement défini le terme « Québécois » en fonction du tristement célèbre discours de Jacques Parizeau. Je suis désolée qu’encore aujourd’hui on réfère à ce discours pour discréditer le mouvement nationaliste québécois. Afin d’avoir une discussion honnête, il convient de rappeler le contexte politique dans lequel s’est déroulé le référendum.»
Article de Ève Lévesque publié dans le Journal de Montréal le 19 novembre
«Les centrales syndicales du Québec, le Mouvement national des Québécois et la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal font front commun pour contrer le recul de la langue française au Québec.
La coalition Partenaires pour un Québec français (PQF) a émis lundi ses demandes au gouvernement de Pauline Marois et proposé une gamme de réformes structurelles touchant le travail, le commerce et les affaires, l’administration publique, l’enseignement et la culture.
La coalition est formée de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), de la Fédération des travailleurs et des travailleuses du Québec (FTQ), du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ), du Mouvement national des Québécois ainsi que de la Société Saint-Jean-Baptistes.»
Louise Beaudoin, Claudette Carbonneau, Dominic Champagne, Brigitte Haentjens, Louis-José Houde, Dr Gilles Julien, Maria Mourani, Fred Pellerin, Jasmin Roy et Julie Snyder
Montréal, le 20 novembre 2012 – C’est avec une immense fierté que le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, décerne exceptionnellement le prix du Patriote de l’année à dix personnalités, en leur remettant la médaille Bene Merenti de Patria pour marquer le 175e anniversaire du soulèvement des Patriotes de 1837-1838. La même initiative avait été prise à l’occasion du 150e anniversaire.
Ces personnalités québécoises ont promu de façon exceptionnelle nos intérêts nationaux dans les sphères des arts, de la politique, de l’environnement, du syndicalisme et des affaires sociales.
Communiqué pour diffusion immédiate
Montréal, lundi 19 novembre 2012 – Devant les multiples affaiblissements qu’a subis la Charte de la langue française et face à l’urgence de contrer le recul du français, les principaux syndicats du Québec et les organismes nationaux voués à la promotion du français au Québec se sont regroupés afin de former la coalition Partenaires pour un Québec français (PQF). Ils comptent mettre en œuvre une campagne nationale visant à mobiliser toutes les forces de la société civile autour de l’objectif de faire du français la véritable langue publique commune de toutes les Québécoises et de tous les Québécois.
Communiqué pour diffusion immédiate
Partenaires pour un Québec français est lancée
Montréal, lundi 19 novembre 2012 – Devant les multiples affaiblissements qu’a subis la Charte de la langue française et face à l’urgence de contrer le recul du français, les principaux syndicats du Québec et les organismes nationaux voués à la promotion du français au Québec se sont regroupés afin de former la coalition Partenaires pour un Québec français (PQF). Ils comptent mettre en œuvre une campagne nationale visant à mobiliser toutes les forces de la société civile autour de l’objectif de faire du français la véritable langue publique commune de toutes les Québécoises et de tous les Québécois.