mars 2010

Christian Rioux, récipiendaire du prix Olivar-Asselin de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal

Montréal, le 10 mars 2010 – La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal a procédé à la remise de son prestigieux prix Olivar-Asselin, destiné à récompenser l’excellence journalistique et le travail remarquable d’artisans de la presse qui ont à cœur l’avancement culturel et politique du Québec. Le prix Olivar-Asselin est nommé en l’honneur de l’un des plus grands journalistes québécois, ayant marqué le début du vingtième siècle avec ses chroniques aussi virulentes que nécessaires, qui ont contribué à façonner le mouvement nationaliste.
Le prix Olivar-Asselin avait été décerné la dernière fois, en 2000, à Normand Lester. Ce dernier était présent aujourd’hui pour la remise du prix à Christian Rioux, journaliste et correspondant du journal Le Devoir à Paris. Voyageur impénitent, Christian Rioux est aussi l’auteur d’un essai sur les petites nations et de Carnets d’Amérique, parus chez Boréal. Il a également publié un recueil de poésie aux Écrits des Forges.

Invitation à la remise du prix Olivar-Asselin de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal

MONTREAL, le 9 mars 2010- Les médias sont invités à une conférence de presse, ce mercredi 10 mars à 11 h 30, au cours de laquelle le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal, Monsieur Mario Beaulieu, rendra public le récipiendaire du prix Olivar-Asselin pour l’année 2010.

À cette occasion, Monsieur Normand Lester, dernier récipiendaire du prix, sera présent afin de remettre le prix à un journaliste québécois qui s’est démarqué par son indépendance d’esprit, la rigueur de ses chroniques et notamment, de son analyse des questions identitaires et du dossier linguistique au Québec dans une perspective internationale.

Journée nationale des Patriotes – « Rassemblons-nous comme les Patriotes l’ont fait »

Article de Josianne Haspeck paru dans L’Éveil le 6 juin 2009.

Pour souligner la Journée nationale des Patriotes, la section Jean-Olivier-Chénier de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJBM) a invité l’historien coloré Marcel Tessier pour parler de l’importance de la connaissance de son histoire.

Avant tout, l’assistance s’est levée pour faire le Salut au drapeau. Le président de la section, Benoit Coulombe, a récité la formule que tous ont répétée.

Le président de la SSJBM, Mario Beaulieu, a indiqué qu’en 1834, les 92 résolutions demandant la démocratie parlementaire, l’augmentation des pouvoirs et des droits égaux pour les Canadiens français ont été adoptées. Il a également profité de la tribune pour décrier la lenteur du gouvernement actuel pour sauver l’église de Saint-Eustache.

Bell nous prend pour des cloches

Texte de Christian Gagnon paru dans le courrier du lecteur du quotidien Le Métro le 8 mars 2010.

Le 3 mars dernier, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal s’indignait que Bell Canada ait donné à son nouveau service d’accès internet haute vitesse au Québec l’appellation anglophone « Bell Fibe ».

Un porte-parole de l’entreprise s’est défendu en disant que Fibe est un mot qui a été créé de toutes pièces par Bell et il n’a pas de consonance anglophone particulière. Les choses se sont toutefois gâtées lorsqu’il ajouta que le mot Fibe faisait référence à l’expression anglaise fiber optic dont Bell n’aurait qu’enlevé la lettre « r » pour ainsi baptiser son nouveau service. Fort bien. Si les gourous du marketing de Bell Canada veulent nous prendre pour des cloches, alors prenons-les au mot, dictionnaire Robert & Collins en main.

Hymne à la folie nationale

Article de Richard Cléroux paru dans Le Trait d’Union le 5 mars 2010.

Le vieux monsieur qui appelait le poste de radio anglophone était en colère. Furieux. Enragé. Il venait d’apprendre que dans le Discours du Trône Stephen Harper avait proposé de changer les paroles de l’hymne national Ô Canada. Sa voix tremblait de rage; il s’étouffait quasiment. Dans la version anglaise de l’hymne il y a une ligne (qui n’existe pas dans la version française.) qui dit : « True patriot love in all thy sons command. » Traduction libre : « la vraie amour patriotique de tous ses fils. »

Attendez que les messieurs anglos apprennent que le « Ô Canada» a été composé par un francophone du Québec, Calixa Lavallée, pour le compte de la Société Saint-Jean-Baptiste.

Accès à l’école anglaise — Le CSLF prône la ligne dure

Article paru dans le site Internet de Radio-Canada le 4 mars 2010.

« Le français est en déclin rapide à Montréal, là où se retrouve la grande majorité des nouveaux arrivants. La solution du CSLF ne permet de colmater qu’une partie des échappatoires aux mesures scolaires de la loi 101 », affirme le président de la SSJB, Mario Beaulieu.

Le Conseil supérieur de la langue française (CSLF) a présenté jeudi son avis sur l’accès à l’école anglaise à la ministre de la Culture et des Communications, Christine St-Pierre.

Le PQ à la défense du français

Article de Louis Pelletier paru dans L’Action du 4 mars 2010.

Les militants péquistes de Lanaudière se réuniront en assemblée générale dimanche le 7 mars, de 10 à 13 h 30, au Centre Émélie-Gamelin situé au 80 rue Wilfrid-Ranger à Saint-Charles-Borromée.
L’assemblée suspendra ses travaux vers midi pour accueillir tous les intéressés à défendre le français.
Le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, prendra alors la parole. Un communiqué signale que le but avoué de cette démarche est la création d’un mouvement lanaudois pour la défense et la promotion de la langue.

Le gouvernement doit appliquer la Loi 101 à l’école privée non subventionnée

La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal est satisfaite de l’avis du Conseil supérieur de la langue française, qui reprend la position de la SSJBM à l’effet d’appliquer la Loi 101 aux écoles privées non subventionnées. Le français est en déclin rapide à Montréal, là où se retrouve la grande majorité des nouveaux arrivants. La solution du CSLF ne permet de colmater qu’une partie des échappatoires aux mesures scolaires de la Loi 101. Par exemple, il sera encore possible de contourner la Loi 101 par un séjour en Ontario ou ailleurs au Canada. De plus, l’effet de francisation de la Loi 101 au niveau primaire et secondaire est affaibli considérablement par l’absence de balises au cégep.

Le nom d’un nouveau service de Bell fait tiquer la SSJB

Article de Daphné Cameron paru en page A 10 dans La Presse du 4 mars 2010.

La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB) a dénoncé hier le nom du nouveau service internet de Bell Canada. Selon le groupe, le choix de l’appellation anglaise « Fibe » constitue un manque de respect à l’égard des francophones. À l’instar des commerces Bureau en gros ou La Source, l’entreprise de télécommunications aurait dû « faire un effort » pour trouver une appellation française pour son service web qui mise sur la fibre optique, croit le président général de la SSJB, Mario Beaulieu. « Ça démontre une insensibilité par rapport au Québec », a-t-il affirmé.

La SSJBM somme le gouvernement Charest d’agir rapidement dans le sens de l’avis du Conseil supérieur de la langue française et de renforcer la Loi 101

MONTRÉAL, le 4 mars – La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal est satisfaite de l’avis du Conseil supérieur de la langue française, qui reprend la position de la SSJBM à l’effet d’appliquer la Loi 101 aux écoles privées non subventionnées. Selon Mario Beaulieu, le président de la SSJBM, »le français est en déclin rapide à Montréal, là où se retrouve la grande majorité des nouveaux arrivants. La solution du CSLF ne permet de colmater qu’une partie des échappatoires aux mesures scolaires de la Loi 101. Par exemple, il sera encore possible de contourner la Loi 101 par un séjour en Ontario ou ailleurs au Canada. De plus, l’effet de francisation de la Loi 101 au niveau primaire et secondaire est affaibli considérablement par l’absence de balises au cégep. » a déclaré Mario Beaulieu, le président de la SSJBM.

Bouchard responsable du déclin du français ?

Article de Jean-Marc Gilbert paru dans le 24 H du 4 mars 2010.

Le président de la Société Saint-Jean-Baptiste, Mario Beaulieu décoche une flèche à l’endroit de l’ex-premier-ministre Lucien Bouchard, et l’accuse d’être « en bonne partie responsable » du déclin de la langue française au Québec.

Ces accusations ont été dirigées à l’endroit de l’ancien chef péquiste mercredi, à Montréal, lors du lancement du livre Le génocide culturel des francophones au Canada, qui propose une cinglante critique à l’endroit du fédéralisme.

Questionné à savoir pourquoi il considère que la langue de Molière est en si piteux état, Mario Beaulieu n’a pas hésité à lancer la pierre à l’ex-péquiste en confiant à 24H que Lucien Bouchard a trop souvent plié l’échine lorsqu’il avait l’occasion de défendre la langue française.