juin 2010

L’Institut Gingras-Lindsay accusé de se soumettre à l’anglais

Article de Kelly Vilo paru dans le journal Metro le 15 juin 2010.

«Si l’institut obtient le statut d’établissement anglophone, les communications seraient en anglais et la langue de travail et d’affichage interne seraient l’anglais», s’est indigné le président de la SSJB, Mario Beaulieu.

D’après M. Beaulieu, les employés ayant contacté la SSJB se seraient plaints à l’OQLF, notamment en raison de la multiplication des notes internes en anglais. Il a ajouté que le but de l’OQLF est de «garantir le droit de travailler en français».

La SSJBM craint l’anglicisation de l’Institut de réadaptation de Montréal

Article de Valérie Dufour paru dans Rue Frontenac le 15 juin 2010.

«L’Institut de réadaptation de Montréal est le seul institut francophone d’envergure internationale et il est affilié à l’Université de Montréal. Il y a déjà beaucoup trop d’hôpitaux anglophones à Montréal par rapport à la proportion des anglophones dans la population, il ne faut pas angliciser un établissement de plus», indique le président de la SSJBM, Mario Beaulieu.

Mario Beaulieu affirme que la majeure partie des patients de l’Institut sont des francophones, tout comme le personnel. Il ne voit donc pas pourquoi on permettrait à la direction de communiquer dans les deux langues avec son personnel. «On nous présente l’obtention de ce statut comme une nécessité pour assurer le maintien des services à la clientèle anglophone, mais l’Institut de réadaptation donnait déjà des services aux anglophones depuis des années.»

Non à l’anglicisation de l’Institut de réadaptation de Montréal

Nous avons appris que l’Institut de réadaptation a fait une demande à l’Office québécois de la langue française (OQLF) pour obtenir le statut d’établissement anglophone en vertu de l’article 29,1 de la Loi 101. Cette situation est inacceptable. Alors qu’on devrait plutôt remettre en question le statut anglophone de la partie Lindsay, qui selon plusieurs ne sert plus une majorité d’anglophones, voilà qu’on cherche à angliciser l’ensemble de l’établissement. C’est le monde à l’envers!

Un concours pour « sauver » le français

Article de l’agence QMI paru sur Canoe le 10 juin 2010

«Le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, a constaté en point de presse que l’OPLFQ demeure passif quand il reçoit des plaintes «faute de moyens et d’inspecteurs insuffisants sur le terrain.»

M. Beaulieu, et le porte-parole du MMF, le comédien Denis Trudel, se sont dits fort préoccupés par la chute du français dans la métropole et le projet de loi 103 concernant les écoles passerelles, qui sera voté en septembre.»

Non aux écoles passerelles révisées, dit la SSJB

Article paru dans Hebdo Rive Nord.com paru le 11 juin 2010.

«La section Pierre-Le-Gardeur de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, s’élève contre le nouveau projet de loi 103. « Le gouvernement Charest a décidé d’affaiblir la loi 101 en légalisant l’astuce des écoles passerelles selon les désirs de la minorité anglophone. On ne peut pas accepter cette attitude. La loi 103 ferait en sorte que des individus riches ou aidés par en arrière pourraient se payer un droit. Il y aurait ainsi création de deux catégories de citoyens. Cela est tout à fait odieux et inacceptable», fait valoir Claude Richard, porte-parole de la SSJB locale.»

Un concours pour sauver le Français

Article de Reine Côté paru dans le journal 24 H le 10 juin 2010.

«Le président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu, ne peut s’empêcher de constater que l’OPLQ demeure passif sur le traitement des plaintes. «Faute de moyens et d’inspecteurs insuffisants sur le terrain», a dit ce dernier, dans une tentative d’explication.»

«À Montréal, les Québécois de langue française ne forment plus que 49 % de la population», a déploré M. Beaulieu.»

La Fête nationale du Québec – Jean-Pierre Ferland fait son entrée chez les Géants… vivants

Article de Jean-Paul Sylvain paru dans Rue Frontenac le 10 juin 2010.

Mario Beaulieu, président du Comité de la fête nationale à Montréal, a présenté mercredi après-midi, en conférence de presse à l’hôtel de ville, en présence du maire Gérald Tremblay, le contenu du Défilé des Géants 2010. Ô surprise, Jean-Pierre Ferland en deviendra le «premier géant vivant». Sans doute le début d’une tradition qui devrait fleurir d’année en année, du moins souhaitons-le.

Ensemble contre le projet de loi 103

Une trentaine d’organismes de la société civile et de plusieurs partis politiques se sont regroupés afin de contrer le projet de loi 103, qui correspond à une capitulation devant une décision de la Cour suprême du Canada invalidant une loi votée à l’unanimité par l’Assemblée nationale du Québec en vertu d’une constitution qui nous a été imposée et qu’aucun gouvernement du Québec n’a signé. Inscrivez-vous dès maintenant au groupe « Non à la loi 103; la Loi 101 n’est pas à vendre! »

Entrevue de Mario Beaulieu au 98,5 FM

Entrevue de Mario Beaulieu avec Mario Dumont au 98,5 FM sur la Coalition contre le projet de loi 103.

Collez ce lien:
http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=73692

Une coalition s’oppose à la Loi 103 et demande l’application de la Loi 101

Article de Pierre Saint-Arnaud paru dans le Metro le 8 juin 2010.

Une coalition de groupes souverainistes, de syndicats et de militants défenseurs du français demande au gouvernement du Québec d’appliquer la Loi 101 aux écoles non subventionnées et d’utiliser la clause dérogatoire pour échapper aux éventuelles poursuites qui en découleraient.

Sous l’égide de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, les organisations ont dénoncé le projet de loi du gouvernement Charest, reprochant à celui-ci de vendre le droit d’aller à l’école anglaise aux plus fortunés.

En vertu de ce projet de loi, les enfants qui n’ont pas le droit de fréquenter l’école anglaise publique en vertu de la Loi 101 pourraient obtenir ce droit en allant dans une école anglaise privée non subventionnée durant trois ans.