juin 2010

Le Canada est accomodant pour tous, sauf pour le Québec!

Selon Michael Adams, président de la firme de sondage Environics, « l’identité du Canada, c’est celle d’une place où la diversité est une occasion, pas un problème, où on est accommodant pour l’autre. » Ce n’est pas exactement ce que l’on a constaté cette année envers le Québec et la francophonie! Qu’on pense à l’invalidation de la Loi 104 (école passerelle) par la Cour suprême, l’interdiction de traduire des documents en français au tribunal de l’immigration fédéral à Montréal, à l’absence de français aux Jeux olympiques, les millions subventionnés aux groupes de pression du Quebec Community Groups Network (QCGN), successeur d’Alliance Québec et à l’Association des études canadiennes de Jack Jedwab, etc.

Fête nationale: un bilan positif pour des festivités réussies

Article paru dans Branchez-vous matin le 25 juin 2010.

Le président du Comité de la Fête nationale, Mario Beaulieu, croit que l’identité des réjouissances est définie par ces festivités en deux volets. «Le Défilé de cette année a confirmé la marque de commerce de l’événement, soit les Géants qui étaient au nombre de 25. De plus, le Grand Spectacle a donné lieu à de grands moments d’émotion», a-t-il affirmé par voie de communiqué.

Le français, toujours menacé selon les experts

Article de Anne-Sophie Laframboise paru dans le 24 H le 24 juin 2010.

Montréal s’anglicise, le Québec aussi

La mobilisation des québécois devra donc se faire plus imposante, croît le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste, Mario Beaulieu. « Avec le jugements de la cour Suprême du Canada qui vient d’invalider la loi 104, l’anglicisation du Grand Montréal et la pression de plus en plus grande des lobby anglophones, nous devons nous mobiliser davantage. Si on ne réagit pas maintenant, il sera trop tard,» avertit monsieur Beaulieu.

Bilan positif pour les célébrations de la Fête nationale

Article paru dans Rue Frontenac.com le vendredi 25 juin 2010.

L’organisation estime que plus de 135 000 personnes ont pris part au Défilé des Grands sur la rue Sherbrooke en après-midi et que plus de 200 000 fêtards ont assisté en soirée au Grand Spectacle au parc Maisonneuve animé pour une seconde année par Guy A. Lepage.

De plus, «aucun incident fâcheux n’a été rapporté», a noté Mario Beaulieu, président du Comité de la Fête nationale, par voie de communiqué.

Saint-Jean-Baptiste d’un océan à l’autre ?

Article paru dans le site Internet de Radio-Canada le 24 juin 2010.

« C’est une fête pour tous les Canadiens, pas juste pour les Québécois. Si on veut unir notre pays bilingue, on devrait reconnaître la Saint-Jean-Baptiste comme étant une fête pour tous les Franco-Canadiens à travers le pays », a déclaré le député Gravelle.

L’initiative est saluée par le président général de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, Mario Beaulieu.

« Quand la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal a proclamé le 24 juin comme la fête nationale, ça se voulait la fête nationale des Canadiens français. Donc, ça devait s’appliquer un peu partout », a-t-il indiqué.

Bonne Fête nationale!

La 176e édition de la Fête nationale mettra à l’honneur la créativité québécoise, celle qui nous a permis à partir d’un rêve, d’imaginer et de bâtir une nation.

Saint-Jean-Baptiste – Les multiples visages d’une fête

Article de Marc Ouimet paru dans Le Devoir du 23 juin 2010.

Depuis son instauration en 1834 comme fête nationale des Canadiens (appellation alors utilisée pour nommer les francophones du Bas-Canada) par Ludger Duvernay et des sympathisants patriotes, la fête de la Saint-Jean-Baptiste a toujours représenté un moment de polarisation de l’espace public québécois autour de la question nationale. Profondément liée au contexte politique canadien-français, puis québécois, la Saint-Jean-Baptiste aura suivi l’évolution de l’identité nationale et du nationalisme au Québec à travers les époques, passant de la célébration traditionnelle clérico-nationaliste aux grands rassemblements festifs que l’on connaît aujourd’hui.

La SSJB a pris part à la marche pour l’indépendance

Nous vous invitons à visionner le reportage de Radio-Canada pour avoir un résumé de cette journée organisée par Libre marcheur.

http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBFT/TelejournalWeekend201006201800_7.asx&epr=true

Différence de revenus entre anglophones et francophones – Une étude âprement contestée

Article de Jean-François Villeneuve paru dans le 24 H du 16 juin 2010.

Le Mouvement Montréal français (MMF) et le mathématicien Charles Castonguay tirent à boulets rouges sur une étude publiée en mai par le directeur de l’association des études canadiennes (AEC), Jack Jedwab, qui démontrait que les francophones du Québec avaient un revenu plus élevé que les anglophones.

« On a utilisé le revenu médian, plutôt que le revenu moyen. Ça fait toute une différence dans les résultats et surtout, ça fausse la réalité », a martelé M. Castonguay, lors d’une conférence de presse tenue mardi matin à Montréal pour dénoncer ce que les organisateurs ont décrit être une tentative de déstabilisation pour affaiblir le Français au Québec. « Jack Jedwab est un menteur et il sait que les chiffres avancés ne sont pas bons ».