octobre 2011

Avis de convocation – Marche et rassemblement pour l’indépendance

MARCHE ET RASSEMBLEMENT POUR L’INDÉPENDANCE
Avec Sébastien Ricard et Catherine Dorion

Montréal, le 4 octobre 2011 – Les représentants des médias sont invités à une conférence de presse avec :

– Gilbert Paquette, coordonnateur de Cap sur l’indépendance
– Sébastien Ricard, artiste
– Catherine Dorion, artiste

Qui présenteront et commenteront la Marche pour l’indépendance qui se tiendra dans le centre-ville de Montréal le samedi 29 octobre 2011, une grande manifestation unitaire, non partisane, pacifique et joyeuse pour l’indépendance nationale.

Cette conférence de presse se tiendra le :

Jeudi 6 octobre – 11h
Au bureau de la SSJB de Montréal
82, rue Sherbrooke Ouest, Montréal
Téléphone : (514) 843-8851

Le réseau Cap sur l’indépendance regroupe les 22 organismes suivants, voués à faire du Québec un pays :

Les futurs enseignants mal formés

Article de Pascale Breton paru dans La Presse du 4 octobre 2011.

Avec la disparition de certains cours dans la formation au secondaire, notamment ce qu’on appelait «les petites matières», plusieurs enseignants se sont recyclés en enseignement de l’histoire, dénonce aussi Robert Comeau, porte-parole de la Coalition pour l’histoire du Québec.

«Au secondaire, il y a un nombre trop important d’enseignants qui n’ont pas de formation en histoire», dit-il.

La Coalition, dont fait partie la Fondation Lionel-Groulx, fait plusieurs recommandations au gouvernement pour améliorer la situation de l’enseignement de l’histoire. Elle préconise notamment de rehausser le programme universitaire en obligeant les élèves à suivre 10 cours sur l’histoire du Québec et du Canada.

L’histoire du Québec oubliée des universités

Article de Jennifer Guthrie paru dans le journal Metro du 4 octobre 2011.

La Coalition pour l’histoire du Québec, dont fait partie la Fondation Lionel-Groulx, a recommandé que «le programme de formation pour le futur enseignant du secondaire soit sérieusement rehaussé au niveau disciplinaire».

«Le Québec est le seul pays (sic) au monde où on ne parle plus d’histoire, mais d’univers social, a dénoncé le porte-parole de la Coalition, Robert Comeau. On souhaite un retour à l’histoire.»

La Coalition demande le retour du certificat en pédagogie, qui forcerait les futurs enseignants à suivre au moins 10 cours en histoire du Québec et du Canada consacrés à la question nationale ou constitutionnelle avant d’obtenir son diplôme.

L’enseignement de l’histoire du Québec est préoccupant

Article de Patrick White paru dans Le Journal de Montréal du 4 octobre 2011.

Les résultats désolants de l’enseignement de l’histoire du Québec et du Canada sont tels qu’un sérieux coup de barre doit être donné pour mieux former les futurs enseignants, a conclu lundi une étude de la Fondation Lionel Groulx et la Coalition pour l’histoire.

Le constat est clair: les professeurs du primaire, du secondaire et du cégep ne sont pas qualifiés, et de grands pans de l’histoire du Québec et du Canada sont négligés dans les cours. Des exemples? La Conquête de 1759, les Rébellions de 1837, l’histoire constitutionnelle du Québec, la Révolution tranquille (1960-1966), les conscriptions de deux guerres mondiales, ainsi que la Guerre de Sept ans (1756-1763).

«L’offre de cours des départements d’histoire québécois néglige les grands événements de notre histoire nationale», a mentionné l’étude.

L’histoire du Québec est trop peu enseignée, défend une étude

Article paru dans le site de Radio-Canada le 3 octobre 2011.

La Coalition pour l’histoire au Québec, dont fait partie la Fondation Lionel-Groulx, recommande que le volet disciplinaire du programme de formation pour les futurs enseignants du secondaire soit sérieusement rehaussé. Elle recommande également le retour du certificat d’un an consacré à la pédagogie et aux stages de formation dans les écoles.

Les lacunes des départements d’histoire

Éric Bédard estime que le mal est plus profond et qu’il provient des lacunes des départements d’histoire des universités francophones. « L’offre de cours des départements d’histoire québécois néglige les grands événements de notre histoire nationale, poursuit M. Bédard. Par exemple, nos départements francophones ne disposent d’aucun spécialiste de la guerre de la Conquête, des Rébellions de 1837 ou de l’histoire constitutionnelle du Québec. »