octobre 2009

Bernard Landry en croisade pour l’application de la Loi 101

Article de Lia Lévesque paru dans le quotidien 24 heures du 19 octobre 2009.

L’ancien premier ministre Bernard Landry participe à une campagne qui vient d’être lancée en faveur de l’application de la Loi 101 au cégep.

Les groupes de défense du français relancent ainsi un vieux débat, soit celui d’étendre la portée de la Charte de la langue française, plus particulièrement son obligation de fréquenter l’école en français, au niveau collégial.

Le professeur Charles Castonguay, un expert des questions linguistiques, participe aussi à cette campagne. Une assemblée publique sur ce thème devait avoir lieu lundi soir à Montréal.

M. Castonguay assistait, comme M. Landry, à une conférence de presse donnée à ce sujet lundi matin par la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, en compagnie de Marc Laviolette, du SPQ-Libre, un club politique du Parti québécois.

Bernard Landry plaide pour l’application de la loi 101 au cégep

Article de Catherine Girard pour le quotidien Métro, édition du 20 octobre 2009.

L’ancien premier ministre du Québec, Bernard Landry, s’associe à une campagne qui a été lancée hier en faveur de l’application de la loi 101 au cégep.

Cette campagne, mise de l’avant par la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, le SPQ Libre et le Mou­vement Montréal français, veut rendre obligatoire la fréquentation de l’école française par les cégépiens francophones et allophones.

La loi 101 au cégep

En bref de la Presse Canadienne paru dans Le Devoir du 20 octobre 2009.

L’ancien premier ministre Bernard Landry participe à une campagne qui vient d’être lancée en faveur de l’application de la loi 101 au cégep. Les groupes de défense du français relancent un vieux débat, celui d’étendre la portée de la Charte de la langue française, plus particulièrement son obligation de fréquenter l’école en français, au niveau collégial.

Après la reconstitution avortée de la bataille des plaines d’Abraham – Accueil turbulent pour la famille royale

Article d’Alec Castonguay paru dans Le Devoir, édition du 9 octobre 2009

Le Réseau de résistance du Québécois tente de faire dérailler la visite du prince Charles et de la duchesse Camilla. La visite au Québec du prince Charles et de la duchesse Camilla fait des mécontents. Le Réseau de résistance du Québécois et la Société Saint-Jean-Baptiste entendent perturber la visite royale et «chauffer les oreilles» du prince Charles. Les manifestants indépendantistes souhaitent faire assez de vagues pour que la royauté renonce à venir au Québec au début du mois de novembre.

Jacques Viger et le Canada montréalais

Article de Michel Lapierre paru dans Le Devoir, édition du samedi et dimanche 26 et 27 septembre 2009.

En 1836, Julie Bruneau écrit à son mari Louis-Joseph Papineau en pensant à leur ami Jacques Viger et à d’autres Patriotes, «grands parleurs» qui reculent devant le pouvoir colonial anglais: «Si on leur montre les grosses dents, ils sont tout à coup sans courage.» Pourtant, Viger, en 1813, s’est senti «en pays étranger» dans le Haut-Canada (l’Ontario actuel). Il a confié à sa femme: «Le Canada n’est qu’à Montréal et dans ses environs.»

Belle doctrine pour Jacques Viger (né en 1787), roi des «premières», qui devient, en 1833, le premier maire de Montréal, en 1834, le premier président de la Société Saint-Jean-Baptiste (fondée par Ludger Duvernay) et, en 1858, année de sa mort, les yeux rivés sur la postérité, le premier président de la Société historique de la métropole!

Appuyez la Coalition pour la promotion de l’enseignement de l’histoire au Québec

Adhérez à la Coalition. Joignez-vous aux associations, organismes, professeurs, parents et citoyens qui exigent un redressement immédiat et des correctifs aux contenus à tous les ordres d’enseignement.

Pour en savoir davantage :
http://www.ssjb.com/contenu/pour-une-nouvelle-coalition-pour-la-promotion-de-l-enseignement-de-l-histoire-au-quebec

Debout pour le français au cégep!

Les mesures les plus importantes qui peuvent être prise pour le français à Montréal et au Québec sont l’application de la Loi 101 au cégep et le financement équitable des universités francophones

Grande assemblée publique: L’avenir du Québec passe par l’enseignement en français au cégep et à l’université
Lundi, 19 octobre à 19 h, à la MAISON THÉÂTRE, au 245 rue Ontario Est, Montréal

Avec Bernard Landry, Charles Castonguay (mathématicien), Jean-Claude Germain (écrivain et dramaturge), Pierre Serré (politologue). Rachel Chagnon (Syndicat des professeurs de l’UQÀM), Akos Verboczy (Commissaire de la Commision Scolaire de Montréal). Animateur : Marc LAVIOLETTE.

Debout pour le français!

Les mesures les plus importantes qui peuvent être prise pour le français à Montréal et au Québec sont l’application de la Loi 101 au cégep et le financement équitable des universités francophones

Grande assemblée publique: L’avenir du Québec passe par l’enseignement en français au cégep et à l’université
Lundi, 19 octobre à 19 h, à la MAISON THÉÂTRE, au 245 rue Ontario Est, Montréal

Des souverainistes prêts à «accueillir» le prince Charles

Article de Fannie Olivier paru dans Cyberpresse le 8 octobre 2009.

«C’est sûr que nous, on est prêts à protester, à signifier notre mécontentement, et à profiter de cet événement-là pour rappeler tout le passé ethnocidaire de la Couronne britannique envers les francophones à travers l’Amérique», a affirmé le président de la SSJB, Mario Beaulieu, en entrevue à La Presse Canadienne, jeudi.

Des groupes souverainistes préparent un «accueil» tout particulier au prince Charles, qui visitera le Québec en novembre après pas moins de 33 ans d’absence.

Même si le lancer de la tomate, de l’oeuf ou de tout autre projectile alimentaire ne devrait pas être à l’ordre du jour, ils promettent des manifestations ponctuant le passage du prince de Galles, accompagné de sa femme, Camilla Parker-Bowles, en visite officielle au Canada du 2 au 12 novembre.

La dernière fois que le prince Charles a mis les pieds au Québec, c’était pour les Jeux olympiques de Montréal à l’été 1976.

Hommage au grand patriote Pierre Falardeau ! « Rien n’est plus précieux que la liberté et l’indépendance. »

Le mouvement indépendantiste perd un de ses plus ardent et flamboyant militant. Cinéaste et écrivain, il insufflait sa passion pour le Québec à travers son art. Sa colère et son indignation face à l’injustice et aux attaques contre le peuple québécois contribuaient à secouer cette attitude de colonisé, cette soumission tranquille qui nous a trop souvent affecté collectivement. Il était profondément généreux et disponible aux militants de la base. Outre ses activités professionnelles, il participait à d’innombrables assemblées de façon bénévole.

Montréal français distribuera des prix Harfang et Autruche

Article de Bahador Zabihiyan paru dans Le Devoir du 28 mai 2009.

Le Mouvement Montréal français (MMF) décernera désormais tous les ans un «prix Harfang pour reconnaître la vigilance éclairée» et un «prix Autruche pour dénoncer l’attentisme et l’aveuglement volontaire» à une personne ou à un organisme, selon son respect de la loi 101, a déclaré Luc Thériault, le nouveau président du mouvement, hier lors d’une conférence de presse.

L’article complet est disponible seulement pour les abonnés du quotidien Le Devoir.