octobre 2009

Questionnaire aux candidats à la mairie de Montréal

Annonce du Mouvement Montréal français publiée dans Amériquébec le 18 octobre 2009.

Comme vous le savez sans doute, le Mouvement Montréal français (MMF) a été créé en 2007 par un groupe de citoyens préoccupés par la situation du français dans la région métropolitaine.

Le MMF a pour objectif de mobiliser la société civile, non seulement pour contrer les reculs du français à Montréal, mais surtout pour réaliser les objectifs de la Charte de la langue française. Ceux-ci consistent entre autres à faire du français la véritable langue officielle et commune de la région métropolitaine, à favoriser l’inclusion et la francisation des nouveaux arrivants et des allophones ainsi que d’assurer l’avenir du français au Québec.

Étendre les dispositions de la Loi 101 aux cégeps

Annonce du Mouvement Montréal français dans le site Internet d’Amériquébec le 17 octobre 2009.

Déjà, certaines circonscriptions et régions ont adopté des résolutions pour étendre les dispositions de la Loi 101 aux cégeps. Nous encourageons les membres du SPQ Libre à faire adopter de telles propositions dans leurs circonscriptions.

Le prochain Conseil national du Parti Québécois, qui aura lieu les 21, 22 et 23 novembre, aura pour thème la Culture. Bien entendu, cela devrait comprendre la langue, car la langue est le véhicule de la culture.

Coalition pour la promotion de l’enseignement de l’histoire au Québec – À quand une histoire nationale ?

Article de Pierre Vallée paru dans Le Devoir édition du samedi 17 et du dimanche 18 octobre 2009.

« La Fondation Historica et l’Institut du Dominion sont déjà présents dans les classes québécoises »
En août dernier, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJBM) a annoncé la création de la Coalition pour la promotion de l’enseignement de l’histoire au Québec. Elle en a confié la mise en place à deux membres de son conseil général, soit les historiens Josiane Lavallée et Robert Comeau.

Ces faits qu’on aimerait oublier

Article de Normand Thériault paru dans Le Devoir du samedi 17 et du dimanche 18 octobre 2009.

«L’histoire purement politique marche moins»
Les «votes ethniques»: erreur ou juste analyse? Duplessis, premier ministre: ne pourrait-on pas gloser sur des moments plus glorieux? Le rapport Durham: faut-il insister sur le fait que le Québec fut une colonie? Les plaines d’Abraham: site historique ou souvenir d’une bataille qui divise encore? Si le Québec parfois se souvient, c’est à la pièce, et encore, pour tracer une histoire bien courte.

Ils et elles sont historiens et historiennes. Ensemble, ils ont collaboré, à la suite d’une invitation lancée par la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, à la mise en place de la Coalition pour la promotion de l’enseignement de l’histoire au Québec.

Pour faire appliquer la loi 101

Article tiré de la Presse canadienne pour Radio-Canada le 19 octobre 2009.

La loi 101 doit aussi s’appliquer aux cégeps pour assurer l’avenir de la culture francophone au Québec. C’est du moins le message que lancent des groupes de défense du français et l’ex-premier ministre Bernard Landry. Ils relancent ainsi un vieux débat.

Landry en croisade pour le cégep en français

Article de Daphnée Dion-Viens paru dans Le Soleil (En ligne) du 19 octobre 2009.

(Québec) Le Parti québécois ne ferme pas la porte à l’imposition du cégep en français, comme le réclame Bernard Landry, mais planche sur d’autres hypothèses pour renforcer l’usage de la langue de Molière au collégial : couper les vivres aux étudiants qui font le saut dans le réseau anglophone et rendre la maîtrise du français et de l’anglais conditionnelle à l’obtention d’un diplôme.

Au secondaire – Si peu de temps et trop de matière

Article de Thierry Haroun paru dans Le Devoir édition du samedi 17 et du dimanche 18 octobre 2009.

Les élèves qui arrivent au collégial sont mal formés
Étendre sur deux ans l’enseignement du programme d’histoire au niveau secondaire, cesser d’éluder des faits marquants de l’histoire nationale, sinon identitaire, du Québec et mettre sur pied un nouveau secteur à l’Institut national de recherche scientifique qui serait consacré à l’histoire politique et nationale du Québec. Voilà autant d’idées et de thèmes qui sont ressortis des entrevues que Le Devoir a conduites auprès de quatre experts. Quand l’histoire suscite toujours un débat.

Coalition pour la promotion de l’enseignement de l’histoire au Québec – Il faut agir !

Article de Robert Comeau paru dans Le Devoir édition du samedi 17 et du dimanche 18 octobre 2009.

Pour une refonte en profondeur des programmes d’histoire
Du primaire à l’université, une refonte de l’enseignement de l’histoire s’impose. Voici la proposition de deux spécialistes.

Devant les nombreuses insatisfactions et le mécontentement persistant en ce qui a trait à l’enseignement de l’histoire au Québec, nous avons travaillé à la mise sur pied de la Coalition pour la promotion de l’enseignement de l’histoire au Québec, avec des représentants de diverses organisations du milieu. Après consultations auprès d’enseignants d’histoire, nous avons précisé nos griefs et proposé des correctifs importants en ce qui a trait aux programmes d’histoire et à leur contenu, et ce, à tous les niveaux d’enseignement, du primaire à l’université.

Au primaire

Landry en campagne pour l’application de la loi 101 au cégep

Article de Lia Lévesque paru dans Cyberpresse le 19 octobre 2009.

L’ancien premier ministre Bernard Landry participe à une campagne qui vient d’être lancée en faveur de l’application de la Loi 101 au cégep.

Les groupes de défense du français relancent ainsi un vieux débat, soit celui d’étendre la portée de la Charte de la langue française, plus particulièrement son obligation de fréquenter l’école en français, au niveau collégial.

Le professeur Charles Castonguay, un expert des questions linguistiques, participe aussi à cette campagne. Une assemblée publique sur ce thème devait avoir lieu lundi soir à Montréal.

M. Castonguay assistait, comme M. Landry, à une conférence de presse donnée à ce sujet lundi matin par la Société St-Jean-Baptiste de Montréal, en compagnie de Marc Laviolette, du SPQ-Libre, un club politique du Parti québécois.

Les CÉGEPS anglophones pointés du doigt

Article de Sarah-Maude Lefebvre paru dans le Journal de Québec le 19 octobre 2009.

Plaidant que le libre-choix au collège avantage l’anglais au détriment du français, un groupe de personnalités, incluant notamment l’ancien premier ministre, Bernard Landry, sonne l’alarme et lance une campagne pour l’application de la loi 101 dans les CÉGEPS.

Selon les chiffres dévoilés aujourd’hui par Charles Castonguay, ancien professeur titulaire au Département de mathématiques et de statistique à l’Université d’Ottawa, plus de 50% des allophones s’inscrivent au cégep en anglais et ce, malgré qu’ils aient auparavant effectué leur scolarité en français.

«Les derniers recensements démontrent que l’effet « enfant de la loi 101 » est renversé au CÉGEP et qu’une majorité époustouflante d’étudiants choisissent l’anglais. Pourtant, la loi 101 avait pour but au départ d’intégrer davantage d’allophones», dénonce M. Castonguay.

Dawson plutôt que le Vieux-Montréal

La SSJB veut que la Loi 101 s’applique au collégial

Article de Charles Poulin paru dans Rue Frontenac.com le 19 octobre 2009.

La loi 101 devrait s’appliquer dans les cégeps de la province, estiment divers militants québécois de la langue française, parce que les immigrants qui ne poursuivent pas leurs études supérieures ont tendance à adopter l’anglais comme langue de tous les jours.

Le président de la Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB), Mario Beaulieu, le président des Syndicalistes et progressistes pour un Québec libre (SPQ-Libre), Marc Laviolette, et l’ancien premier ministre Bernard Landry ont lancé, lundi avant-midi en conférence de presse, une campagne visant la modification de la loi qui oblige les nouveaux arrivants à étudier en français au primaire et au secondaire.

Une assemblée publique sur ce thème aura d’ailleurs lieu lundi soir à Montréal.